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 { /!\ Ce rp peut choquer } Je suis la tentation... {Emmett}

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Emmett Cullen
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Emmett Cullen


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MessageSujet: Re: { /!\ Ce rp peut choquer } Je suis la tentation... {Emmett}   { /!\ Ce rp peut choquer } Je suis la tentation... {Emmett} - Page 2 EmptyJeu 30 Juil - 23:08

Allons bon... Victoria se lassait. Je devais trouver autre chose qui lui permette de s'amuser, de la sortir de la monotonie de cette soirée qui nous changeait les idées à tous les deux. Il suffisait juste qu'on passe à autre chose. A quelque chose d'un peu plus sensuel, d'un peu plus chaud. La seule chose, c'est que je ne savais pas quoi. Je me rappelais soudain mes anciens ébats avec Rosalie, et l'idée me vint tout aussi naturellement qu'un humain mange ou boit.
C'était tout aussi naturel qu'un chien qui lève la patte pour se vider. On pouvait dire que moi aussi, j'étais un chien. Je levais assez facilement la patte, mais pas pour les mêmes raisons que le chien. Quand une femme savait y faire avec moi, quand elle savait me prendre par les sentiments, quand elle avait bien analysé la situation dans laquelle j'étais, c'était toujours facile pour elle de m'avoir parmi ses trophées de chasse. Si j'avais pu chasser, en tant qu'humain, et découper les têtes de mes proies, je l'aurais fait et je me serais régalé de leurs chairs, par la suite. Mais, je n'étais plus humain. Je n'avais plus besoin de manger. Il fallait que je boive. La chasse n'était pas tout à fait fermée, mais la majorité de la porte était close. Une porte que je ne pourrais plus refranchir.
Autrefois, j'avais eu des rêves. J'avais eu des rêves que j'aurais voulu construire. J'aurais voulu fonder une famille. J'aurais voulu avoir une petite femme qui m'embrasserait lorsque je rentrerais du travail. Mais, en l'espace de quelques secondes, tout s'était écroulé. Il n'y avait plus rien eu à part la poussière de beaux rêves partis en fumée. Des rêves qui avaient été effacés lorsque j'ai étreint la mort avec un peu trop de puissance. C'était une erreur de jeunesse. Que je regrette, à présent.
Les regrets, j'en avais pleins. Je pouvais les ramasser à la pelle, si je voulais. J'avais arrêter de les compter il y a plus de quarante ans. Pourquoi je faisais des erreurs que je regrettais par la suite ? Par ce que j'étais trop idiot pour comprendre que je blessais, moi ainsi que tous ceux de mon entourage. J'étais un idiot, un bel idiot. Je ne me déferais jamais de cette idiotie qui me collait à la peau depuis ma naissance. Si j'avais su ça beaucoup plus tôt, je me serais tué. J'aurais épargné ma famille de la présence désagréable d'un crétin parfait, d'un excellent débile. Pfff... C'était si dur de vivre, dans le temps !
Mais, maintenant, ma vision du monde avait changé. Je n'étais plus le même qu'avant. J'avais changé en tout point. J'avais une famille sur laquelle je pouvais compter, que j'aimais plus que tout au monde.. Esmée était une mère adoptive parfaite, tout comme Carlisle, son mari, était un père adoptif excellent. Edward, malgré les erreurs qu'il avait commis, était un frère avec lequel j'aimais parler. Jasper, quant à lui, avait certes, une présence bienfaisante pour tout le monde. Et Alice, sa femme ! Que dire d'elle ? C'est la petite voyante de la famille. On prête toujours une attention particulière à ses visions. Enfin, pas toujours. Et Rosalie...
Je pourrais écrire tout un roman, sur elle. C'était ma femme, ma moitié. C'était celle qui me donnait l'envie de vivre chaque jour. C'était celle qui me donnait l'envier de l'aimer un peu plus chaque jour. C'était elle qui me réconfortait lorsque je n'allais pas bien. C'était elle qui me comprenait mieux que n'importe qui d'autre dans la famille. C'était elle qui me donnait l'envie de sourire, qui me donnait le goût de la vie. Sans elle, je ne serais rien. On dit toujours que sans les femmes, les hommes sont perdus. Mais, les humains rigolaient à cette phrase et disaient d'elle que c'était qu'un mensonge, qu'ils étaient capables de se débrouiller sans. Mais, depuis que je vis avec Rosalie, je n'étais plus d'accord avec eux. Sans une femme, le monde était noir. De l'obscurité, j'étais passé à la lumière. Grâce à une Rose qui m'a ouvert son cœur. Grâce à la lumière qui illuminait ma vie, à présent.
Mais, il n'y a pas d'amour sans guerre. Un couple ne peut mieux vivre que quand il y a des disputes, de temps en temps. Et, j'avais eu cette dispute qui fait qu'on commence sérieusement à douter de la stabilité du couple. J'étais tellement au fond du gouffre que j'étais parti voir ailleurs. Parti me consoler dans les bras d'une autre femme. Rien que pour ça, je me fustigerais. Mais, je n'avais pas la conscience avec moi. Elle était restée à la maison, avec Rose.
J'avais trouvé l'idée qui ferait bouger notre ébat, avec Vikki. Je la pris par les hanches et la retournais vivement. Je me penchais sur elle et repris mes mouvements de va-et-vient. J'espère qu'elle aimerait ça ! Au pire, je trouverais autre chose qui pourrait faire monter notre libido. C'était ça, l'amour ! Une affaire compliquée dans laquelle il fallait innover chaque fois un peu plus. C'était comme tout. Il fallait trouver quelque chose de nouveau pour se sentir revivre.
Je voulais sentir la vie renaître en moi. Je voulais sentir la peau d'une femme sous mes mains. Je voulais continuer à aimer sans m'arrêter. Je voulais continuer d'être un homme à part entière. Pas un de ces hommes qui ressemblent à des épaves, qui ressemblent à des loques puisqu'ils n'avaient pas pris le temps de savourer la vie. Je voulais me souvenir du goût des lèvres de Rosalie contre les miennes. Je voulais continuer à câliner ma femme. Je voulais rester avec elle pour l'éternité.
Je m'allongeais sur le corps de Victoria, sans cesser mes mouvements répétitifs. Je déposais sur toutes les zones de son dos que je pouvais des petits baisers. Parfois, je laissais ma langue traîner le long de sa colonne vertébrale. Ou parfois, j'enfouissais mon visage dans ses cheveux, et j'agrippais ses hanches, de peur de la voir partir soudainement. Mais, je doutais fort qu'elle parte. Ce moment devait bien lui plaire puisque c'était elle qui était venue me chauffer. Je n'avais rien demander, moi !
Elle ne disait rien. Je n'entendais que ses grognements, de plaisir, sûrement. Elle devait de mordre les lèvres pour éviter d'éclater en grognements plus forts, plus insistants. Moi, je ne me retenais pas vraiment. A vrai dire, me retrouver tout contre elle et faire l'amour avec était nouveau pour moi. Je ne disais pas que l'expérience était désagréable, mais, c'était étrange. Ce n'était pas la même sensation. Avec Rosalie, on ne se retenait pas. On criait, grognait, on faisait tout ce qu'on voulait. En général, les gens évitaient de s'approcher de chez nous. Et puis, c'était quand même mieux quand on savait que le partenaire y prenait son pied ( moi, je prends du plaisir, mais bon, chacun prend ce qu'il veut ^^ ).
Soudain, une pensée me traversa la tête. Pourquoi ne faisons-nous pas ça avec des accessoires ? Bah quoi ? Je pouvais utiliser les menottes pour Victoria. J'avais toujours rêvé de fouetter une femme menottée à la tête de lit ( quand un lit a une tête. Si c'est une table, on l'attache à ses pieds et on s'amuse avec. Mais, le seul problème avec les gens de mon espèce, c'est qu'on a du mal à soupçonner sa force. Victoria serait capable de tirer d'un coup sec sur la menotte et de la casser. Le pied de ta table subirait sûrement le même sort. Bon, c'était juste une idée en l'air. Je n'étais pas obligée de la faire.
Je ne m'étais pas rendu compte que j'avais arrêter d'aller et de venir avec Vercingétorix. Je m'étais relevé, sans m'en rendre compte. Je fixais le mur d'en face, tenant toujours entre mes mains les hanches de Vikki. Je reprenais peu à peu conscience de la réalité. Je retrouvais tous mes moyens. Je me rendis soudain compte que j'étais nu, sur Victoria, à l'emboîter ( désolé, j'ai décidé de ne pas choquer certaines consciences ). Elle aussi, était vêtue comme Ève. J'écarquillais les yeux d'horreur avant de me lever à la vitesse de la foudre.
Je remis mon pantalon, mon caleçon ayant été réduit à l'état de lambeaux. Je regardais Victoria, une expression horrifiée sur le visage. Comment avais-je pu ?... Comment avais-je osé trompé la confiance que ma femme me vouait ? Je n'étais qu'un goujat, un salaud. Un beau salaud, même. S'il existait l'award du plus grand salaud de la planète, je pense qu'il devrait me revenir. Au pire, je l'invente et je me l'attribue. C'était la seule chose que je pouvais faire. Ensuite, je me promènerais avec pour que les gens sachent qui je suis. Je ne pourrais même plus regarder Rose dans les yeux.
J'enfilais aussi ma veste tout en ressassant les derniers instants. Je ne savais pas comment j'avais atterri là. C'était comme si j'avais été déconnecté du monde depuis que j'avais quitté ma famille, depuis qu'Alice m'eut lancé un avertissement. Et puis après, plus rien. Le noir total. Le néant. Et je me réveillais soudain, dans un autre endroit, en train de m'envoyer en l'air avec une autre femme. Qui étais-je pour faire ça ? Qui suis-je vraiment ?
« C'est la question qu'on se pose tous, Mr McCarty. » ma conscience
« Moi aussi je me pose cette question » moi
« En fait, vous êtes un mélange d'un parfait crétin et d'un parfait salaud qui donne ce que vous êtes. Vous êtes que le déchet d'une société privée de tout. Vous êtes un personnage abject. Vous... » ma conscience
Je ne désirais pas que ma conscience parle encore plus pour me balancer la vérité en pleine face. J'allais suffisamment en subir lorsque je rentrerais à la maison, alors, pas la peine que ça commence dès maintenant. Je voyais déjà se profiler à l'horizon la dispute qui désunirait toute la famille. Je devrais alors partir seul, vivre ma vie, coupé de tous ceux qu'autrefois j'avais aimé, que j'aime encore et que j'aimerais toujours. Même malgré mes erreurs qui nous désunirait, je ne cesserais pas de penser à eux. Ca aurait été trop dur.

« Désolé... Je ne peux pas... Je... » murmurais-je à Victoria, dans un moment de faiblesse.

Je n'osais plus la regarder. C'était trop dur, ça aussi.
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