{ /!\ Ce rp peut choquer } Je suis la tentation... {Emmett}

Emmett était parti à la chasse avec Carlisle. Uniquement tous les deux. Il n'y avait pas Rosalie, ni Esmée, ni les autres. Entre père et fils seulement. Carlislie respectait le silence d'Emmett. Ce dernier pensait trop à la dispute qu'il avait eu précédemment avec Rose. Cela le chagrinait d'avoir des différents avec sa femme. Il n'aimait pas se fâcher avec elle, ni la contredire ni faire quelque chose qui risquait de la blesser. Mais, cette dispute avait été plus forte que toutes les autres. Il avait failli la frapper, ce qui n'était jamais arrivé auparavant.
Ils chassaient depuis un bon bout de temps. Ils avaient décimé une petite parcelle de terrains de toutes les bêtes à peu près potables. Et c'est là qu'ils l'avaient croisée. Irina. Cette fille du clan de Denali. Elle qui avait été une de leurs amies pendant une certaine période de l'histoire. Tant Carlisle qu'Emmett savaient qu'elle était partie du côté des méchants, celui de Victoria. Mais, les vampires végétariens essayaient de faire revenir du monde de leur côté. Ils ne disaient jamais que leur côté était celui des gentils, mais par des arguments convaicants pour eux.
Et Irina leur avait parlés. Et eux aussi d'ailleurs. La discussion n'avait pas été très rapide. Carlisle leur avait dit que lui et sa famille étaient convié à une fête, le soir même. Irina, curieuse de savoir qui viendra, leur avait posé cette question. Et Emmett lui avait répondu :

" Il n'y aura que moi. Rosalie ne viendra pas. Aice et Jasper non plus. Je ne compte pas sur Edward, ni sur toi, Carlisle ni sur Esmée. "

Et Irina était partie peu après.

La famille d'Emmett était conviée à une fête. Pourquoi y était-elle conviée ? Le vampire n'en savait rien et à vrai dire, du moment qu'il pouvait rompre la solitude qui le prisait depuis un bon bout de temps, ça l'arrangeait. Il pourrait enfin s'éclater comme bon lui semblait. Il ne savait pas qui viendrait et c'était tant mieux. Emmett adorait les surprises. Il s'amusait d'autant plus quand il y en avait.
On disait souvent d'Emmett que c'était un éternel enfant. D'un côté, on lui disait souvent qu'il fallait mieux rire que pleurer et c'est ce qu'il faisait depuis sa transformation. Il riait souvent, racontait des blagues et sortait des trucs au moment où il ne fallait pas. Mais, lorsqu'il ne faisait rien de tout ça, Emmett était plongé dans ses pensées, perdu au fin fond de sa mémoire. Parfois, il ne revenait que difficilement du néant qu'était sa tête. C'était dur pour lui de se replonger dans des choses vieilles de dizaines d'années ou même récents.
L'heure de la fête était enfin arrivée. Le vampire s'était préparé en vitesse. Un simple costume noir, avec une chemise blanche et une cravate rouge. Le truc classique qui passait partout. Lorsqu'il eût enfilé ses vêtements, il fila hors de la maison des Cullen. Mais, Alice déoubla à cet instant.

" Emmett, n'y va pas, s'il-te-plaît ! "

Le vampire se tourna vers sa soeur et la dévisagea quelques instants. Même s'il ne pouvait pas pleurer, les yeux d'Emmett étaient emprunts d'une tristesse douloureuse. S'il aurait pu pleurer, les larmes se seraient déversées toutes seules, dévalant ses joues comme une rivière peut dévaler des collines.

" Laisse-moi tranquille, Alice. parvint-il à articuler
- Non attend s'il-te-plaît ! J'ai comme un mauvais pressentiment... rétorqua-t-elle d'une voix suppliante
- Tu préfères que je reste coincé ici, que Rose se ramène et qu'on se redispute ?
- Je ne veux pas que tu te disputes avec elle... J'ai jsute peur pour toi, et l'avenir...
- L'avenir, pour moi, c'est Rose et tu le sais très bien.
- Fais-moi confiance, Emmett... S'il-te-plaît... supplia-t-elle avec les yeux du chat potté
- Fais-moi confiance et tout ira bien. Si tu veux aller dans ce sens là, ok.
- Espèce d'idiot. Depuis quand tu ne me fais pas confiance, à moi et à ce que je vois ?
- Ecoute, Alice. J'ai toujours fait confiance à tes visions, mais pour une fois, lâche-moi les basques avec, veux-tu ?
- Alors, pourquoi cette fois, tu ne me fais pas confiance ?
- Je veux que tu me lâches avec tes visions, qu'elles me concernent ou pas ! Je te fais toujours confiance, mais en ce moment, j'ai pas la tête à faire attention.
- Je ne te lâcherais pas, grand idiot. Si tu y vas, je crains que Victoria y soit... Et que Rosalie ne te le pardonnera jamais si ce que je pense avoir vu se réalise...
- Que cela se réalise et tu diras rien ! Sinon, Jasper me le pardonnera pas.
- Là, ce n'est pas à toi de me dire ce que je dois faire ou ne pas faire. Je te surveille, fait attention. Certaines choses ne passent pas avec moi... Un pas de travers... Un seul et tu auras à faire à moi ! "

Emmett ne répondit pas à sa soeur et sortit de la villa. Puis, il se dirigea vers sa voiture, dans laquelle il grimpa et alla totu droit vers la salle des fêtes.
La salle des fêtes n'était pas très remplie. Emmett se dirigea non sans mal vers le bar et il s'assit sur une chaise. Comme d'habitude, il rumina ses pensées tout en fixant la table d'un regard vide, morne, terne. Il commanda un verre de vin, pour faire plus stylé et le but. Même si ce n'était pas du sang. Pas grave, il s'en fichait, même des conséquences qui s'ensuivraient. Le vamprie était tellement plongé dans ses pensées qu'il ne vit pas Victoria approcher.
Ce n'est que lorsqu'elle lui parla qu'Emmett leva les yeux et qu'il se mit à grogner dessus. Conscient que son comportement n'était pas commun chez les humains. Elle lui parla.

" Un Cullen seul ici n’est guère habituel… Où est la petite Rosalie ? "

Emmett posa sur elle un regard triste, comme toujours. Il lui répondit pas tout de suite. Mais, de toute façon, il est conscient que Victoria est son ennemi. Il ne se laisserait pas facilement avoir.

" Elle n'est pas là, ça se voit pas ? "

Je m'étais accoudé au bar, les pensées toujours vagabondes. J'avais osé espérer que Victoria me laisse tranquille, à ruminer mes sombres souvenirs, mais il n'en fut rien. Elle était restée à côté de moi. Je me mis à soupirer, plus de désespoir et aussi parce qu'on me laissait pas seul que parce que je ne respirais pas. Je n'avais pas besoin de respirer d'ailleurs, tous comme mes sembables, qu'ils soient bons ou mauvais.
Victoria me fixait toujours. Je sentais son regard posé sur moi, et, sans savoir pourquoi, cela me gênait. Déjà d'une, aprce que ce n'était pas une amie, plutôt une ennemie. D'ailleurs, je ne vois pas en quoi ce pouvait être une ennemie. Si elle voulait m'attaquer, elle se serait arrangée pour le faire avant, alors que j'arrivais à la salle des fêtes. Et de deux, son regard me gênait parce que c'était celui d'une femme que je ne connaissais que trop bien parce qu'on avait eu un différent avec elle les années précédentes. Ensuite, ce n'était pas les yeux de Rosalie qui me scrutaient. C'était complètement différent et je me sentais d'autant plus mal à l'aise.

" Qu’est ce que tu fais ici Emmett ? Seul sans ta famille ? Peut être à la recherche d'émotion forte ? "

Je n'avais pas envie de lui répondre. A quoi cela pouvait-il servir ? De toute façon, elle obtiendrait ses réponses sans avoir à me faire parler et de toute façon, je ne voulais pas parler. Ca ne servait à rien. Surtout quand j'étais de mauvaise humeur ou triste, je pouvais me révéler très taciturne. En fait, j'étais taciturne en ce moments-là. En plus de ne pas parler quand on me posait une question, je pouvais réagir très violemment et dans ces cas-là, je pouvais faire éclater ma vraie nature devant tout le monde. Mais il me faudrait fuir, m'en aller loin, très loin, là où personne ne pourra venir me trouver, hormis Edward et Alice qui pouvaient toujours me dénicher.
Puis, d'une oreille distraite, j'écoutais ce que Victoria disait au barman. Certes, j'aurais pu faire un effort pour écouter, mais je n'en avais pas envie. A vrai dire, je ne voulais pas du tout écouter. Mais, je ne pouvais pas aller contre ma nature. C'était une chose impensable. Et c'est avec regrets que j'écoutais ce qui se passait à côté.
Apparamment, la vampire voulait qu'on se retrouve seul à seule dans une salle pour discuter tranquillement. Je n'étais pas contre ça, loin de là. Je ne me doutais pas des intentions qu'elle cachait derrière, et je crois qu'il fallait mieux ne pas les savoir. Je ne voulais pas les savoir. De toute façon, j'étais prêt à mourir pour me faire pardonner de Rosalie. J'avais eu un comportement quelque peu étrange envers elle.
Puis, je me souvins de la question que Victoria m'avait posé auparavant. On m'avait toujours appris à répondre à une question, même si ce n'était pas automatique. C'était la moindre des choses à faire, même à un ennemi. La politesse était très présente chez les Cullen, et Emmett le savait très bien. Comme on le disait souvent, il faut prendre soin de ses ennemis.

" Si tu veux savoir, je suis venu me divertir. Oui, moi, me divertir. C'est rare, mais je le fais. Je suis sans ma famille car j'ai besoin d'être seul. Si tu peux t'en aller, ça m'arrangerais beaucoup. Ca m'ebêterait de montrer qui on est devant tout le monde, si tu vois ce que je veux dire. D'ailleurs, en ce qui concerne les émotions fortes, il y en aura d'ici peu si tu ne déguerpis pas. "

Ma mauvais humeur passait sur la malheureuse Victoria. Que dis-je ? Malheureuse ? Elle n'avait pas à se plaindre. Je m'étais sincèrement retenu de l'étripper lorsque je l'ai vu. Mais, comme je l'ai déjà dis, je n'étais pas d'humeur à me battre. J'avais plutôt un énorme besoin d'être consolé, réconforté. Ma famille avait déjà essayé de le faire, sans succès. Je les avais fuit, ne cherchant plus leur présence comme autrefois. C'était désolant et j'espère ne pas les avoir blessé par mon comportement.
Je crois que Victoria était très bien tombée. Je n'avais pas besoin d'une connaissance pour me changer les idées, pas besoin d'amis. Peut-être qu'un membre du clan adversaire pouvait le faire ? Et puis, pourquoi pas ? Victoria était une femme, elle comprenait les femmes. Peut-être pourrait-elle me donner quelques conseils afin que je comprenne mieux Rosalie ? Peut-être pourrait-elle devenir un psychologue que je viendrais voir lorsque mon couple avec Rose battrait de l'aile ? Mais, je crois que ça ne plaîrait pas à Rosalie que j'aille voir une autre femme à sa place. Elle est très jalouse et je la comprends.
Et puis, qui avait besoin de savoir que rien n'allait dans mon couple ? Ca n'intéressait que moi. A la rigueur, Victoria qui pourrait m'aider. Mais c'est tout. Avec c'est sans joie et sans entrain que j'acceptais d'aller dans une salle à l'abri des oreilles indiscrètes pour discuter avec elle.

J'avais le dos tourné, je ne pensais plus à rien. J'étais fatigué et en même temps, je ne pouvais pas dormir. Mais, je ne voulais rien faire. Rien faire d'autre que de m'appitoyer sur mon sort, sur ce qu'aurait été ma vie si je n'avais pas été transformé en vampire. Je n'en serais pas là. Je n'aurais jamais connu Carlisle, Edward et le reste de ma famille ainsi que mes ennemis. Je n'aurais jamais connu Jacob ni Bella. Je n'aurais connu personne.

Si seulement je n'avais pas été chasser ce jour-là, est-ce que j'en serais rendu là ? Pourquoi a-t-il fallu que j'aille embêter un ours dans sa tanière pour qu'il me donne une gentille baffe qui m'envoie sur le chemin du non-retour ? Pourquoi a-t-il fallu que je désobéisse à mon père en y allant, à mes risques et périls ? Pourquoi suis-je tant idiot ? Pouruqoi a-t-il fallu que ça tombe sur moi ? Pourquoi ? Mon Dieu, peux-tu répondre à ces questions qui n'ont jamais eu de réponses ?

Je me souviens, pourtant, de l'avertissement que mon père m'avait donné. C'était encore ancré dans ma mémoire. C'était tout frais, comme si ça datait d'hier, alors que ça datait de plus de cinquante ans.

J'étais dans la maison, à astiquer mon espingole, comme à mon habitude. C'était toujours ainsi quand je voulais aller chasser du gibier. Je n'y pouvais rien, c'était un tic. Un tic que j'avais acquis dès l'âge de mes quinze ans, époque à laquelle on m'avait offert l'espingole. J'étais heureux de pouvoir enfin aller chasser avec mon père. J'en avais toujours rêver. Pouvoir sortir de la maison et ramener un lapin ou un sanglier pour le dîner comme trophée. J'étais heureux. Heureux, insconscient et naïf.
Mais, ce jour là, je me souviens d'avoir astiquer mon fusil et d'être sorti de la maison. J'vais posé mon espingole sur l'épaule et marchait d'un pas joyeux vers la forêt qui abondait partout autour de ma maison. Mon père était dehors, occupé à lire un livre. Il aurait dû s'occuper du bois pour chauffer la maison, mais il n'en était rien. Il ne faisait rien, comme à son habitude. Et, je me rappelle lui avoir dit :

" Tu viens chasser, Papa ? "

Sa réponse avait fusé directement de ses lèvres :

" Non "

Et il s'expliqua :

" La forêt profonde regorge d'ours et de grosses bêtes. C'est dangereux d'y aller. Même si la viande risque de nous nourir pendant un certain temps, je ne préfère pas y aller. On va attendre quelques jours et je pense que ça sera bon. Je te conseille de ranger ton fusil et d'attendre. "

Et les mots jaillirent de mes lèvres sans que je puisse les retenir. J'étais comme ça, parfois. Je ne pouvais pas me la fermer. Il fallait que je dise ce que je pense.

" Mais, Papa ! Il faut qe j'y aille ! Sinon, comment les ours disparaîtront ? Je ne suis pas un idiot quand même ! Dis moi que tu n'as plus envie d'y aller, ça sera mille fois plus simple !
- Emmett, écoute, tu n'iras pas, point final. Et si tu y vas, je... "

Je n'entendis pas ses derniers mots. Je lui avais tourné le dos et je m'enfuyais au plus vite vers la forêt profonde. Mon père avait le don de m'énerver, parfois. Je n'hésitais plus à lui désobéir. Je savais, de toute façon, qu'il avait peur de moi, que ma force était supérieure à la sienne. Il avait peur que je le frappe comme j'ai frappé ma mère avant sa mort. Je n'avais pas regretté sur le coup, mais, lorsqu'elle fut mise six pied sous terre, j'avais eu un énorme regret de l'avoir gifflé alors qu'elle était mourante. Et ce regret me pèse toujours sur la conscience.
J'étais en pleine forêt lorsque le soleil commençait à baisser. Il était aux environs de trois heures de l'après-midi. J'vais chaud, j'avais soif. Ma gorge commençait s'assècher mais je ne voulais pas rebrousser le chemin pour affronter de nouveau mon père. Tant pis, ça attendra.
Je voyais les fourrées bouger, quelques lapins détaler à toute vitesse, mais pas d'ours. Ce que je voulais, c'était de l'adrénaline, de sensations fortes. Alors, je marchais encor eun peu jusqu'à ce que mes souvenirs reviennent sans crier gare. Et je me mis à hurler, de désespoir, de tristesse, d'accablement. Et je crois que c'était ce qui avait attiré l'ours jusqu'à moi. En fait, je n'avais pas vu la grotte de la bête. Elle était tout près de moi. Et comme d'habitude, je n'avais pas fait attention.
J'épaulais de nouvea mon espingole et cela n'a pas dû plaire à la bête qui chargea. Je la voyais arriver sur moi et moi, je ne bougeais pas. J'étais trop absorbé par la gueule du grizzli, ses dents pointues qui pointaient hors de la bouche, ses poils bruns qui partaient dans tous les sens. Soudain, je vis jallir unr immense patte droite qui s'abbatit sur moi.
Je m'effondrais à terre, ma dernière pensée était pour mon père. J'aurais dû lui obéir. Et là, on me donna le sommeil éternel.

Ressaser ces souvenirs m'accablèrent d'autant plus que je n'entendis pas le barman arriver et Victoria le renvoyer dans toute la délicatesse féminine. Je ne m'occupais plus de rien de ce qui m'entourait. De toute façon, Victoria savait mieux faire que moi, dans la communication. Elle était douée pour rembarer ceux qui l'énervait, et même ceux qui ne l'énervait pas.

Soudain, je sentis sa présence à mes côtés. Mes mains furent soudainement prises entre deux étaux. Les mains de la vampire. Je me résignais à le ver le regard et à la scruter au plus profond d'elle même. Ca me faisait bizarre de la regarder droit dans les yeux. La couleur rubis ensanglanté de ses prunelles me faisait peur. De toute façon, à quoi ça sert de lutter contre le mal si on sait qu'on est fichu ? Et, pour me le confirmer, elle parla.

" Félicitation Emmett ! Je n’aime guère qu’on lève la main sur moi… La dernière personne qui l'a fait ne s’en ait jamais relevé ! Je vais donc faire comme si rien ne s’était passé, juste parce que c’est toi… Mais ne t’avise pas de le refaire… Je ne voudrais tout de même pas t’abîmer… "

Puis, je sentis ses doigts posés sur mon torse. La dernière personne à l'avoir fait était Rose, lors de notre dernier moment intime. Sentir les doigts d'une autre femme sur mon corps me faisait frissoner. C'était une expérience nouvelle, mais en même temps, ces gestes voulaient tout dire. Et soudain, je compris ce qu'Alice avait voulu dire. Elle ne voulait pas que j'aille à la fête parce qu'elle sentait que quelque chose de malsain se préparait. Et j'eu peur

Peur d'être renié par ma famille. Peur de l'incconu. Peur de ce que sera mon avenir sans ma famille, sans Rose, sans Edward. Edward était le frère qui me comprenait sûrement le plus. Mais, comme dans un poème de Baudelaire, Le Voyage " Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe?
Au fond de l'Inconnu pour trouver du nouveau !". Il fallait que j'aille vers cet inconnu pour le connaître, sinon, qui le connaîtra à ma place ? Mais, j'avais peur quand même.

Je ne bougeais pas, laissant Victoria faire ce qu'elle voulait faire. Je n'avais plus la force de bouger. Tout en moi me poussait à m'effondrer par terre et à continuer de m'appitoyer sur mon triste sort. Tout ! Mais, je voulais montrer ce qu'était un vrai homme. Un homme qui n'était pas faible. Je n'étais pas faible. Je ne voulais pas m'effondrer. Mais j'étais quand même pourvu de sentiments et trop d'accumulations de malheurs et de tristesse ne pouvaient que me faire pleurer.

Je pouvais sentir que mon baiser plaisait à Victoria. Elle semblait l'aimer. Et ce n'était pas qu'un peu car elle y mit du sien dans ce baiser et fit tomber ma chemise ( tomber la ! Tomber tomber la chemise ! Ok, je sors ^^ ) avec une rapidité qu'un humain aurait trouvé anormale. Je ne le rompis pas. Je n'en avais pas le courage ni la vonlonté. Je ne voulais pas.

Deux mains, que des humains normaux auraient trouvées froides, vinrent se plaquer sur mon visage et l'ebrassade dura plus longtemps. Puis, la vampire jeta ses bras autour de mon cou et sa bouche passa tout le long de ma mâchoire. Son corp se plaqua au mien et je raffermis ma prise de mes mains sur sa taille, sans toutefois lui briser les côtes. Je pourrais le faire, mais prendre un ennemi en traître n'était pas mon genre. Je n'étais pas violent non plus.

De mon côté, je fis glisser une des bretelles de la robe de la vampire. Pourquoi serait-elle la seule à me déshabiller ? Il fallait que ça soit kiff-kiff ( bourricot ! Mais bourricot, l'âne, pas le jeu de société x) ). Je ne sais pas comment elle le prendra et puis, si ça ne lui plaisait pas, tant pis. Et c'est là qu'une musique de l'étage inférieur me parvint.

Bizarrement, je trouvais qu'elle collait bien à ce moment que je vivais avec Victoria. Sentir qelqu'un d'autre contre moi était étrange, bizarre, bien. Je m'imaginais déjà un futur avec elle. Un futur dans lequel on vivra tous les deux dans une belle maison, assez grande, en plein milieu d'une immense forêt qui regorgerait de petits oiseaux qu'on entendrait le matin ( et qu'on aurait envie de fusiller parce qu'ils nous feront ch*er. ^^ ). A proximité de la mer aussi, car c'est toujorus agréable d'entendre les vagues s'écraser sur le sable, ou de voir un coucher de soleil avec son autre moitié. Tel était mon rêve. Que je n'ai jamais réalisé.

Je sentis ses lèvres passer sur mon cou pour finir sur mon torse. Beaucoup de femmes me disent que j'ai un torse d'athlète. Mon torse était ce qu'il était autrefois, dans ma vie d'humain. J'avais toujours été musclé parce que j'avais toujours aidé mon père porter des charges lourdes. Mes autres frères et soeurs ne l'auraient pas fait. Ils n'étaient pas courageux comme moi je l'étais. J'étais Emmett le Courageux, 3ème du nom. Pour vous servir, Madame ( Bah oui, Madame est servie ! # sblafffff # )

On les assassins n'étaient pas pourv de sentiments. Mais, j'étais convaincu que Victoria ressentait quelque chose en ce moment sinon, elle ne se donnerait pas à fond dans une embrassade qui devrait aboutir à mort et à la sienne, par conséquent. Mais, on était tous les deux des assassins. Elle, pour avoir tuer des tas d'innocents et moi pour ne pas avoire respecter le lien sacré qui m'unissait à Rosalie. Et puis, si cette dernière était d'accord, pourquoi ne se joindrait-elle ps à nous ?

Comme si j'étais innocent, je fis glisser l'autre bretelle de la robe de Vikki. La robe était prête à glisser. Mais, je me fichais de me retrouver devant une femme nue. Des femmes nues, j'en avais déjà vues. Et pas qu'une. Mais, je me fichais de ça. Je me fichais de savoir si une femme était nue ou non. C'était elle et moi Nos corps l'un contre l'autre. Et ça me suffisait.

J'entendais de loin les mots qu'Alice me jetterait au visage, les injures que les autres me lançeraient. Mais, je m'en fichais. Ils ne pouvaient passavoir ce qui se passait dans mon coeur. Bien sûr, la réaction dont j'avais le plus peur était celle de ma femme.

Victoria était un assassin. Elle avait rompu notre baiser pour me fixer droit dans les yeux. Quelle garçe ! Elleallait me le payer. On ne devait jamais me faire ça. C'était cruel. Moi, le pauvre nounours, perdu dans un monde vétuste. Un monde trop vieux et... Trop vieux. Mais, j'étais aussi vieux que trois humains de 30 ans réunis.

Victoria était presque nue contre moi. J'étais presque heureux. Sa robe gisait à terre, inerte à côté de ma chemise blanche. Il me fallait plus qu'une chemise et une robe ôtés. Il fallait qu'on soit dans les tenues d'Eve et d'Adam. Et là, je serais heureux. Enfin, peut-être pas. Ou peut-être. Enfin, je ne sais pas.

Mes mains furent reprises par Victoria qui me poussa sur le canapé en uir de vachette ( et ouais, c'est Rosa, la vachette. Pas Rosalie, a femme, mais Rosa ( et là, je suis sensé ajouté Parks, mais c'est vache pour elle. x) )). J'étais dot le cas de le dire ^^ ) dans le canapé. Victoria, en petite tenue, s'assit sur mes genoux. Je passais automatiquement mes bras autour de sa taille et la pressais contre moi. Nos deux corps s'emboîtaient parfaitement. La nuit qui s'annonçait promettait d'être prometteuse.

Je ne lâchais pas les lèvres de Victoria. Je ne voulais pas la quitter. Elle seule pouvat résoudre mes poblèmes de coeur. Je me sentais un autre homme ( enfin, vampire serait le plus approprié ) avec elle dans mes bras, sur mes genoux, sur mes lèvres. Dans mes pensées, aussi. Elle était devenue une obsession comme il ne m'en était plus arrivée depuis très longtemps. J'étais, pour ainsi dire, heurex, content. Rien ne pouvait briser ma joie, sauf peut-être Alice accompagnée de Rose, débarquand à l'improviste. Ah ! Et il y aurait aussi Edward qui, lui, aurait lu dans les pensées de la magnifique Alice. Vive la famille !

Mais là, je n'y pensais pas. Mes pensées étaient obnubilées par Victora. Elles ne voyaient qu'elle, rien d'autre autre. Mon ouïe captait la musique qui passait en dessous, les paroles que certains se disaient, et aussi le bruissement des feuilels des arbres à la brise légère qui soufflait. J'étais heureux. Très heureux. ( Efficace et pas cher, c'est la MAF qe j'préfère, c'est la MAF ! ^^ )

Je posais mes mains sur les cusses de la vampire. Je e voulais pas qu'elle se casse la figure par ma seule faute, bien que je savais que cela n'arriverait jamais. Mais, quand même, je sais que ça ne se faisait pas de laisser tomber les femmes alors qu'on était en plein moment intime. De totue façon, je me souviens d'une chanson qui disait clairement " Ne la laisse pas tomber, elle est si fragile d'être uen femme libérée ". Victoria était une femme libérée de James depuis pas longtemps. Enfin, uen petite dizaine d'années. L'une de mes mains resta sur sa cuisse et l'autre vint se poser dans son dos pour la plaquer contre moi.

Et les siennes continuaient de caresser mon corps de dieu. Elles montaient et descendait sur mon torse et finalement, elles descendrient pour ne jamais monter. J'en sentis une au niveau de ma braguette. Elle allait défaire mon pantalon. Je le savais. Ca serait con de le nier. Et puis, de toute façon, que pouvais-je y faire ? Je n'allais pas lui dire " Non Madame, ce coin est privé, il faut un pass pour y entrer ! ". Ca serait stupide.

Ma main dans son dos remonta jusqu'à son soutien-gorge et s'arrêta au niveau de la fermeture. Je pinçais pour l'ouvrir et ô Miracle ! Il s'ouvrit ! Un immense sourire se dessina sur les lèvres. Victoria ne povuait pas le voir, mais elle pouvait le sentir.

Soudain, j'entendis des bruits de pas dans l'escalier, et un souffle aussi. Je stoppais le baiser et fixai la porte durant des secondes. Les pas s'arrêtèrent devant la porte et quelqu'un frappa. Je reportaismon regard sur Vikki et l'interrogeais des yeux. Elle pouvait me comprendre ( comme dans un poème de Verlaine " Car elle me comprend, et mon coeur transparent // Pour elle seule, hélas !cesse d'être un problème " ). Je n'attendis pas la réponse de la femme pour me lever, et remetre ma chemise. Je pris sa robe et la lui balançais sans lui jeter un regard. Elle n'était pas obligée de se rhabiller mais si la personne tenait à rentrer dans la pièce, autant qu'elle soit protégée. Je nevoulais pas qu'il voit son corps parfait. Il m'appartenait en ce moment.

Je posais ma main sur la poignée et la tourna. Un autre homme du bar se tenait en face de moi. Il était jeune, celui là. Je ne lui donnais pas vingt ans. Sa face était parsemée de quelques boutons blancs. Il pourrait être plus beau s'il prenait soin de sa peau et s'il se coupait les cheveux, aprce que là, les cheveux longs, ça lui va pas, mais alors, pas du tout.

" Oui. C'est pour quoi ?
- Nourriture, M'sieur. On m'a dit de vous la monter parce que c'est l'heure du buffet. A moins que vous préférez déscendre...
- Tu sais, tu prends ton plat et tu repars comme tu es venu. Nous n'avons pas faim. Et repenses-y. Je n'aime pas parler pour rien. "

Je me retins de pousser un grognement et je lançais au pauvre petit humain un regard de la mort qui tue. C'est ça qui a dû lui faire prendre ses jambes à son cou ( bon, il est peut-être pas très souple, mais s'il arrive à courir comme ça, il m'appelle ! ^^ ). Je revins vers Victoria, enlevais ma chemise et me pencha au dessus de la vampiresse pour l'embrasser

Je sentais nos regards se croiser. Ils ne pouvaient se détacher, c'était à la fois fascinant, et à la fois embêtant. Mais, le regard en disait toujours bien plus long que la pensée et il était toujours facile de déchiffrer ce que la personne voulait dire en la regardant dans les yeux que de tenter de déchiffrer ce qui se passait dans son crâne. Et pourtant, en fixant Victoria, en allant chercher au fin fond de ses yeux, je ne pouvais que voir le désir, nsque l'envie. Je ne me préoccupais pas de ss sous-pensées. Ce n'était pas mes affaires.

Elle se recolla à moi, ses lèvres retouchèrent les miennes, les effleuraient. C'était un instant délicat. Tellement délicat. Je n'avais jamais connu ça. Avec Rosalie, c'était quelque chose de très acrobatique, de très mouvementé. On avait ps fait dans la délicatesse. On avait pas le temps. Quand elle voulait quelque chose, ça devait être automatique. Et moi, ne pouvant lui résister, je lui cédais. Alors que je débutais ma vie de vampire, on avait été actifs. On aurait pu l'être encore plus en ces moments, mais avec l'histoire de Bella, c'était plus trè évident. D'ailleurs, je ne comptais même plus le nombre e maisons que nous avons détruits lors de nos ébats. De toute façon, je m'en fichais puisque rien ne pouvait me blesser. M^me pas une maiso qui s'effondrait sur nous. J'avoue que ce n'est pas très glamour d'avoir des débris de parpaings, de la poussière de plâtre et du bois sur des corps nus en pleine action, mais il fallait faire avec.

Mais là, c'était différent. C'était comme si Victoria avait besoin de délicatesse. Avec elle, c'était plus que sensuel. C'était des moments comme je n'en avais jamais vécu auparavant. Je comptais donc en profiter un maximum, et tant pis pour les répercussions. Pour une fois qu'un de mes rapports pouvaient être tendresse, délicatesse... Au diable tout le rese. J'aurais bien le temps de le retrovuer en enfer !

Je sentis les mains de Victoria glisser vers mon pantalon et redéfire un bouton de celui-ci. Je renforçais notre baiser, le fis plus intense, plus exquis (mot ! Désolée, je n'ai pas pu m'empêcher de la sortir ^^). Et, je les sentis encore dans le bas de mon dos. Elles n'arrivaient surement pas à faire glisser mon pantalon de mes jsD façon, j'avais un caleçon dessous. Il fallait bienqu'elle soit déçue. Alors, pour l'aider, je me soulevais un peu d'elle et enlevais mon pantalon que je laissais tomber à terre, près du canapé. On était enfin presque nus. L'action promettait d'être très... Enfin, ce moment promettait tout simplement d'être chaud.

Je me rallongeais sur le corps de Victoria et me réemparrais de ses lèvres avec avidité. Je pris ses hanches entre mes mains et l'attirais avec force contre mon torse. Je libérais une de mes mains pour la poser contre sa cuisse. De toute façon quoi que les autres puissent dire, quoi qu'ils puissent faire, rien ne pouvait me faire changer d'avis en ce moment. J'étais scotché à ce petit bout de vampire par les lèvres, j'étais scotché à elle par la pensée et par le désir du corps.

Quiconque aurait pu me trouver enlacer avec Victoria aurait cru qu'on était un mari et une femme, tout simplement. Mais, on était quatre dans ce bâtiment à connaître la vérité. On n'était pas un couple marié. On est sensé être des ennemis. Mais, je venais d'aller trouver mon ennemie pour coucher avec elle après une dispute de couple que j'avais eu avec Rosalie. Et elle me changeait les idées. C'était comme si elle me désoulait de tout ce que j'avais ingurgité. Victoria était le remède contre mes maux. Elle pouvait être capablede les résoudre. Résoudre ces maux causés par une femmme. On répare le Mal par le Mal,

J'étais en train de l'embrasser tendrement, avec une intensité bestiale, lorsque je sentis ses mains partir à la recherche des miennes. L'une d'elles trouva ma première main posée dans son dos, la maintenant contre moi. Et sa seconde main trouva mon autre main contre sa cuisse. Hum,,, Pourquoi faisait-elle ça ? Voulait-elle qu'on arrête ici ? Et si je ne voulais pas, que se passerait-il ? Mais, voilà qu'elle les noua ensemble pour en faire un amas de doigts entremêlés, un amas de doigts qu'on ne pouvait pas défaire tellement c'était serré. Et puis, le monde s'inversa pour moi.

Victoria se trouvait désormais au dessus de moi. Je sentais contre mon dos nu le cuir du canapé me collait à la peau. C'était désagréable, mais en même temps, ça me faisait penser à tellement de choses que j'avais vécu dans mon enfance... Victoria continuait de m'embrasser. Ça, c'était agréable... Elle savait les faire ! Je ne pouvais pas le nier ! Et puis, ses lèvres descendirent le long de ma mâchoires pour la parsemer de petits baisers frais, doux. Elles descendirent encore plus en passant dans mon cou qui subit le même sort que ma mâchoire, sur ma poitrine aussi. Et mon ventre.

Elle releva la tête. Je n'avais pas cesser de la fixer depuis qu'elle m'avait mis dans l'autre sens. Je pus voir ses yeux rouge flamboyer dans le crépuscule s'installant. J'esquissais un sourire qui fit trois fois le tour de mon visage. Et avec ça, si elle ne voyait pas que j'étais heureux en ce moment là, avec elle sur moi... Mais, ce moment furtif ne dura pas. Elle replongea vers mon ventre et descendit jusqu'à la limite de mon caleçon. Je me levais sur les avant-bras, afin de mieux voir ce qu'elle allait faire. J'avais encore dans ma mémoire le souvenir tout frais d'une Victoria penchée au dessus de mon abs ventre, me regardant, avec un sourire enfantin. J'aimais ça.

J'avais une sorte d'instinct qui me disait souvent ce que les femmes allaient faire de moi et sur moi lors de nos ébats. Et, en général, ces prévisions se révélèrent vraies. Il n'y avait jamais eu de fautes dans mon jugement de cette sorte. Et souvent, comme je n'aimais pas mentir, je leur disais ce qu'il me plaisait et je les laissais faire. Mais là, Victoria devait savoir ce qu'il me plaisait. C'était comme si la vampire savait lire dans mes pensées.

Je sentis sa bouche froide contre mon bas ventre et, elle fit claquer l'élatique de mon caleçon plusieurs fois. Avec ses dents, je vous en prie ! Madame voulait faire comme bon lui semblait, alors, autant la laisser faire. De toute façon, quand on commençait à me prendre par le coeur ( ou autre chsoe ^^ ) et par les sentiments, on était sûr que je me laissais faire et que cet instant pouvait être féroce si je m'y mettais.

Et, toujours sur mes avant-bras, je la regardais, encore et encore... Comment ne pas être sensible à son charme ? Je suis sûr et certain que plusieurs hommes, en bas, avaient tourné la tête quand ils la virent passer. Et, ils ont dû fulminer de rage contre moi lorsqu'ils virent que je m'étais dirigé à l'étage avec elle. J'avais entendu quelques chuchotis pervers à notre encontre, mais, je n'y avais pas fait attention. J'étais bien au fond du gouffre de l'enfer qui s'était ouvert depuis peu. Et, Vikki était là pour commencer à le combler.

Je poussais un grognement de mécontentement. Victoria venait de déchirer mon caleçon. Ou devrais-je dire dire le boxer que je portais et qui m'avait - enfin, pas à moi mais à Rose - une certaine somme. Rosalie n'allait pas être contente lorsque je lui dirais que son cadeau avait été réduit à l'état de lambeaux par une autre femme qu'elle. Mais, je dûs m'avouer que Victoria m'avait impressionnée. Elle s'était battue contre mon boxer. Et mon boxer mord lorsqu'un inconnu pénètre sur son territoire. La prochaine fois, en plus du panneau " Propriété Privée ", je devrais mettre le panneau " Attention, chien méchant ! ", comme ça, les gens seront prévenus sijamais ils osaient s'aventurer en ces terres qui sont miennes.
Mais, Vercingétorix défendait aussi son territoire. Vercingétorix, cet immense roi de la Gaule qui a su défendre Alésia des romains avant de jeter les armes aux pieds de Jules César ( nous parlons ici de l'empereur Jules César, pas du chien César dans les pubs de pâtés pour toutous ^^ ). Et mon Vercingétorix ne s'était pas battu. Il avait juste succombé à l'ennemi...
Je sentis des lèvres fraiches se poser sur lui, puis elles descendirent et quelque chose d'humide s'en empara. Si j'avais fermé les yux, je n'aurais jamais su qu'il s'agissait de Victoria. Mais, je la regardais faire des mouvements de va-et-vient avec son orifice buccal. Ses cheveux roux pendaient sur une épaule. Bizarrement, je m'étais mis à penser à un cocker que j'avais croisé une fois dans la rue. La comparaison me fit éclater de rire. Elle se demanderair pourquoi je rigolais. Peut-être se dira-t-elle que je suis chatouilleux et que sa langue sur Vercingétorix me chatouillait.
Cependant, je la laissais faire. Je ne bougeais pas à part que, de temps en temps, j'étais secoué d'un rire nerveux en repensant à la comparaison Victora-cocker. Puis, elle vint à arrêter et elle me repoussa sur le canapé pour que je m'allonge. Je le fis sans hésiter. Dès qu'elle se recoucha sur moi, je la fis basculer à une vitesse vampirique et fis subir le même sort que mon caleçon à son string. En plus, qu'elle me remercie, les marques de son string se verront encore moins sous sa robe. En plus, la marque Dim vous propose ( ok, je m'égare là ^^ ).. Mais, l'avantage majeur, c'est q'on peut tirer son coup s'importe où, quand on veut. Il y a juste la obe et le soutien-gorge à enleveret hop ! C'était dans la poche !
Mais là, on avait pas été pressé. Victoria m'avait prise par les sentiments. Elle avait profité de ma faiblesse sentimentale pour m'attaquer. Et elle avait réussi. Je la fixais de haut. J'étais positionné au dessus d'elle, n'allez pas comprendre que je lui en voulais. Ce n'était pa ça. Puis, dans un murmure qu'elle seule et ses acolytes ( pas ses alcooliques, il y a une légère nuance ) pouvaient entendre, je dis :

" Egalité, maintenant... "

Je fondis sur sa bouche en un rien de temps avant de la reprendre par la taille et de la plaquer contre mon superbe corps d'athlète. Ma main descendit le long de son dos pour finir sur son derrière. Je l'vançais vers moi, pour que son entre-jambes viennent se coller contre le mien. Puis, j'arrêtais l'embrassade pour faire des va-et-vient avec mon Vercingétorix.

Je ne pouvais pas dire queça ne me plaisait pas ! C'éait quelue chose e naturel pour moi. Ca se faisait comme un humain mangeait le matin, le midi et le soir. Ils ne se sentaient bien qu'après s'être rempli l'estomac. Je me sentais bien dans toutes sortes de situations, dont faisait partie celle-là. Je n'allais pas me plaindre. Et puis, qui disait qu'il fallait profiter de la vie ? Qui disait qu'il fallait vivre au jour le jour commesidemain était le dernier ? Mais, je savais que pour moi, ça n'avait plus de sens. Demain était égal à éternité.

Puis, elle passa ses bras autour de mon cou. Je poussais un grognement. A elle de choisir comment elle voudrait le traduire. Je laissais libre cours à son imagination frivole. C'tait une femme et les femmes ont toujours ( ou très souvent ) une imagination bien supérieure à celle des hommes. C'était elles les maîtresses dans ce jeu. Nous, les hommes, on ne devait se plier qu'à leur exigences. C'était elles à qui on voulait faire plaisir.

J'entendis les ronronements et les grognements de Victoria. Un fin sourire se dessina sur mes lèvres. Bon, apparement, ça lui faisait plaisir. Tant mieux ! Elle ne devra pas m'en redemander plus. Je n'étais pas non plus une machine. Au bout d'un moment, j'allais en avoir marre. Pas fatigué, juste marre. Bah oui, après tout, j'étais un homme, et j'avais le droit à avoir quelques faiblesses ! Je faiblissais à la vue d'une feme tentatrice. En général, elles en profitaient lorsque j'étais à ras-les-pâquerettes. Elles pouvaient être sûres que j'allais succomber à leur charme.

Mais là, j'étais avec une femme, qui plus est, est sensée être une ennemie. J'entendais déjà les diatribes que ma famille me lancerait. Edward pourrait me comprendre. Lui aussi avai eu sa part. Au moins, je me sentais rassuré. Je pourrais parler avec lui. Il pourrait me comprendre. Me comprendre et parler avec moi. Peut-être pourrait-il me réconforter. Enfin ce n'était qu'un peut-être. Ce n'était jamais sûr. Peut-être q'il sera comme les autres, à m'éviter.

Mes mouvements de va-et-vient du bas ne cessèrent pas. Ilsne iminuèrent pas d'intensité, bien au contraire. C'était comme si j'avais été pressé que ça finisse. Pressé était le mot. Mais pressé de quoi ? Pressé comme un jus d'orange ? Sauf que je n'étais pas un jus d'orange. Je préférais le grizzli. Ca n'avait rien à voir ave un jus d'orange mais un grizzli pressé était tout aussi bon. Je grognais, de plaisir aussi.

Je ne désirais pas parler à Victoria. On ne se comprendrait pas. Les gestes parlaient plus que les mots. Des mot qui n'auraient servi à rien. On ne les aurait pas entendu. On ne les aurait pas compris. Mais, je ne pus m'empêcher de lui demander :

"Ca te plaît ou tu préfère passer à autre chose ? "

Je sentis ses lèvres sur mon cou sur mon corps. Je lui rendis la pareille sans cesser mes mouvements répétitifs de Vercingétorix.