Jusqu'à toi { pv Rose }

Il faisait gris et la pluie menaçait sérieusement de tomber. Et cela ne pouvait que rendre Emmett joyeux puisqu'il pouvait sortir sans craindre d'être dévoilé. Dans sa vie antérieure, il avait toujours aimé le soleil parce qu'il pouvait alelr chasser et que les bêtes étaient plus propices à sortir sous les cîmes des arbres, sur des feuilles sèches. Mais, maintenant, Em' se fichait complètement de savoir s'il faisait beau ou non. Il pouvait tenir des jours sans ressentir la soif.
Il avait chassé tôt ce matin-là et le vampire passa toute la matinée à faire autre chose. Il ne s'arrêta même pas le midi pour manger comme les humains. Sa soif était à présent étanchée. et l'après-midi serait bien longue pour lui. Très longue, trop longue pour rester cloîtré dans la maison qu'Esmée avait rénovée pour lui et pour Rosalie, et aussi pour resté enfermé dans la demeure des parents. Comme il ne savait pas quoi faire, il regarda par la baie vitrée et vit le ciel gris. Sortir. C'est ce qu'il décida de faire, en ce moment même.
Cela faisait longtemps qu'Emmett ne s'était pas octroyé quelques instants avec Rosalie. Des instants où il en profitait pour vivre pleinement son amour avec elle. Lorsqu'il y avait Edward à ses côtés, Em' prenait grand soin à dissimuler ses pensées, ce qui n'était pas toujours très sympa pour lui. D'une écriture un peu brouillonne, le vampire rédigea un court mot à l'intention de Rose et le cacha dans un endroit où elle pourrait le trouver. Il avait grand hâte qu'elle vienne le rejoindre dehors, dans les rues de Forks.

Les rues de Forks n'étaient pas très bondées, en raison du mauvais temps, mais cela n'empêcha pas les gens de se promener et d'entrer et sortir des magasins. Il observa les allers et venues des humains, humant ,au fur et à mesure qu'ils passaient devant lui, l'odeur alléchante du sang. Mais, au fil des années, il avait appris à se contrôler, à ne pas sauter sur les pauvres humains. C'était parfois dur, mais Emmett savait s'y prendre. Et puis, il y avait toujours Rose dans les moments où il se sentait faiblir face au sang des humains.
Le vieux vampire était adossé à une devanture de magasin, attendant, impuissant, que les minutes s'écoulent et que Rosalie vienne le rejoindre. Soudain, une pensée l'envahit. Et si elle n'avait pas trouvé son mot ? Et si elle ne venait pas ? La peur l'assaillit comme de l'eau glacée. Désormais, il était persuadé que Rose n'allait pas venir. L'heure de rendez-vous avait été dépassée. Il s'apprêta à partir...

Aujourd'hui jour de pluie, comme toujours d'après tout. Puisqu'à Forks c'est souvent le cas et que tout le monde y habitant sont habitués. Enfin presque tout le monde, car comme partout, il y a de nouvelles têtes à chaque années qui viennent se plaindre. Mais pourquoi choisir un tel endroit si vous n'aimez pas la pluie et le froid ? Cette question restera toujours un mystère aux yeux de Rose, quoique elle-même ce plain pour n'importe quoi.

Enfin bref, elle ne savait pas quoi faire en cette journée et Emmett ne semblait pas être à la maison. Décidément, tout allait mal pour notre petite blondinette. Elle commença à tourner en rond à la recherche de ce qu'elle pourrait bien faire de sa journée. Elle pensa même à aller embêter quelques humains en se moquant un peu d'eux, mais ce serait mal vu par le reste de la famille.

Hey merde, pourquoi il n'est jamais là quand je n'ai rien à faire. On aurait pu en profiter...

Dit-elle à elle-même en lâchant un petit grognement. Puis soudain, elle se rappela d'une façon dont elle et Emmett avait de correspondre en secret. Peut-être qu'il avait caché un petit message quelque part. Elle se mit donc à la recherche d'un petit mot qu'aurait pu lui laisser son homme.

C'est après à peine quelques minutes de recherche qu'elle trouva finalement ce qu'elle cherchait et un petit sourire s'afficha au coin de ses lèvres. Par chance, elle se trouvait seule, car nous devons l'avouer que Rose n'est pas de plus souriante. Elle espérait seulement qu'il aurait eut la patience de l'attendre, car elle avait déjà un peu de retard. Mais elle se mit immédiatement en route vers l'endroit indiqué.

C'était fou comment les gens semblaient fuir la pluie comme si c'était la peste en personne. Pourtant, la pluie rafraichi le corps et l'esprit. Il faut croire que les humains sont trop idiots pour sans rendre compte. Mais cela a du bien, car il y a moins de gens dans les rues et donc moins d'envie de sang qui parfois sont assez difficile à contrôler. Et ce même après autant d'années à les côtoyer et nous pouvons remercier le soutient des proches pour l'aide lors de moment non contrôlé.

Puis, Rose fut sorti de ses pensées voyant Emmett se redresser et tourner le dos pour partir de leur point de rendez-vous. Ouf, elle ne l'avait donc pas manqué. Enfin presque pas, puisqu'il en fallait de peu pour qu'il n'y soit plus. Elle prie un pas plus rapide à la façon humaine bien entendu afin de rejoindre rapidement son homme.

Désolée, tu avais trop bien caché le mot... J'ai mis du temps à le trouver....

Dit-elle, même si c'était totalement faux et qu'elle avait tout simplement mis du temps à penser à ce moyen de communication entre eux. Elle attrapa Emmett par le bras et l'adossa à nouveau contre un des murs proches et se colla à lui en le fixant droit dans les yeux.

Tu croyais te sauver aussi facilement dit-moi ?

Ajouta-t-elle en resserrant ses mains sur les bras musclé de son homme. Mais simplement pour montrer qu'elle était bien là.

~~562 mots~~

« Désolée, tu avais trop bien caché le mot... J'ai mis du temps à le trouver... »

Je n'avais pas besoin de me retourner pour savoir qui c'était. Et puis, elle n'avait pas à parler, j'avais repéré son odeur. Mais, je n'étais pas sûr de celle-ci, les humains brouillant la sienne avec les leurs. J'aurais tout aussi bien pu me retourner et la regarder, mais, elle fut plus rapide. Elle avait pris mes bras, m'adossa au mur et se colla à moi. Ses yeux me fixèrent.

« Tu croyais te sauver aussi facilement dit-moi ? »

Non, je ne voulais pas me sauver, mais ne la voyant pas arriver, c'était normal que je commence à m'impatienter et à partir. Et puis, j'aurais tout aussi bien pu faire les cent pas histoire de passer le temps ! Bien que tant Rosalie que moi savons que le temps pour nous était comme un rêve éternel. Un rêve éternel dont on ne se réveillera jamais. Un rêve parsemée de poussières de cauchemars. Un rêve que je vivais depuis une cinquantaine d'années et que je ne pouvais fuir. Un rêve que je devais vivre jusqu'à ce que je sois démembré et brûlé.

Je lui adressais un immense sourire et libérais une de mes mains pour lui caresser le visage avec douceur avant de l'attirer vers le mien pour lui déposer un long baiser sur ses lèvres. Puis, je me défis de son visage et la regarda longuement avant de dire :

« Ce n'est pas grave si tu l'as trouvé en retard. L'important, c'est que tu sois venue. Je commençais juste à m'inquiéter de ton retard. Je ne comptais pas fuir, mais m'en aller car je ne te voyais pas arriver... Mais maintenant, on va enfin pouvoir rester ensemble... »

Avec tendresse, passion et tout ce qui allait avec, je la pris par la taille pour la faire pivoter et aller quelque part. Quelque part où on pourrait passer un moment agréable. Quelque part où on pourrait être seuls, elle et moi. Elle et moi, contre le monde entier. Pour une fois, depuis bien longtemps dans ce rêve sans fond ni repos.

« Tu veux aller où, ma chérie ? Pour moi, ça m'est égal, du moment que tu es là. » demandais-je d'une voix cajoleuse agrémentée d'un sourire séducteur

Elle était heureuse de voir s'afficher un immense sourire sur les lèvres d'Emmett lorsqu'il croisa le regarde de celle-ci. Le sourire de celui-ci était décidément contagieux pour Rosie, car elle eut aussi un sourire qui s'afficha. Et dieux sait à qu'elle point ce n'est pas tout le monde qui parvient à la faire sourire. Mais Emmett c'est Emmett et on aurait dit qu'en sa compagnie, elle s'adoucissait où du moins dans certaines situations. Elle n'eut pas le temps de continuer de parler se prenant un immense baiser de son amour alors qu'il tenait son visage dans sa main. Ahhh l'amour ! Puis un moment de silence se fit alors que le baiser se termina et que leurs regards se croisa à nouveau l'un dans l'autre.

Hmm... et si nous laissions nos pas nous guider ? Comme moi aussi l'endroit m'est complètement égal ! Ça fait assez longtemps que nous ne nous avons pas profité d'un petit moment tranquille seulement toi et moi.... que je n'aie pas envie de me plaindre sur l'endroit de destination.

Dit-elle en marchant avec Emmett dans les rues de Forks comme des humains, afin de rester le plus naturel possible. Rosie les fit s'arrêter un peu plus loin près d'une petite ruelle avec un doux rire.

Pourquoi à chaque fois que je rencontre un endroit moindrement éloigner du monde avec toi... y'a qu'une chose qui me vient en tête ? Monsieur Cullen au sourire séducteur qui fonctionne toujours autant sur mon être, nous ne devrions pas rester en dans le coin finalement...... Que dirais-tu d'aller marcher dans la forêt près d'une source d'eau ?

Dit-elle afin de chasser certaine penser sur les plaisirs charnels qui les reliait toujours aussi intense qu'un début de leur relation. Elle devait avouer avoir du mal à ne pas y penser, mais elle voulait avant tout passer un peu de temps tranquille avec son homme adoré.

Enfin, seulement si tu promets d'être sage !

Dit-elle en passant ses main sous le bas du chandail d'Emmett afin de toucher sa "peau" sur le ventre de celui-ci. Puis, elle le relâcha sachant que les rues n'étaient pas l'endroit idéal pour se faire une trop grande preuve d'amour..... Bien qu'elle aimait chercher à faire perdre la tête à Emmett, elle décida de se tenir tranquille aujourd'hui.

~~410 mots~~

J'avais laissé mes mains sur la taille de ma femme. Oui, ma femme. Cela semblait bizarre à tous les gens qu'on avait rencotré au lycée de dire qu'on était mariés. Mais, on s'en fichait, du moment qu'on vivait notre histoire, tranquille, sans embrouille. Je voulais juste qu'on me laisse seul avec elle quelques instants, ce qui arrivait souvent avec des humains. Je ne sais pas ce qui les repoussaient de nous. On ne se lave pas assez ? On leur fait peur ? Et encore, on n'a pas de longues canines comme dans les premiers films sur les vampires. Ils voulaient renforcer ce que les humains prenaient pour un mythe.

Les humains. Tous des ignorants. Quand se rendront-ils compteque leur Univers tout beau tout propre n'est pas peuplé que de leurs seuls vies ? Ils pensent être les seuls à vivr sur une terre où tout est à présent corrompu. Ils pensent avoir vécu tant d'horreur qu'ils préfèrent mettre fin à leurs jours. Mais, pourquoi veulent-ils faire ça ? Nous, les vampires, savons qu'avec les humains, nous ne sommes pas les seuls êtres-vivants présents sur cette planète. Il y avait aussi les Loups-Garous. Mais, tant les Vampires comme ma famille, comme nos ennemis jurés ( Victoria et compagnie ) que les Loups-Garous savons qu'il ne fallait jamais révéler notre identité aux humains. C'était dangereux pour notre propre survie.

Mes mains étaient donc toujours sur la taille de ma femme. Et, elle voulait laisser nos pas nous guider... Elle voulait comme moi. Qu'on se retrouve seuls, peut importait l'endroit. C'était parfait. On avait exactement le même genre de pensées. C'était pour ça qu'on se comprenait parfaitement. On était le coupe parfait. On s'était arrêté près d'une petite ruelle, et je regardais Rosalie qui émettait un doux rire, qui me faisait toujours sourire.

Puis, elle parla. J'écoutais sa voix, fasciné. Comment ne pouvait-on pas être fasciné par une telle voix ? C'était comme des milliers de clochettes qui tintinnabulaient ensemble pour la former. C'était mélodieux, magnifique. C'était doux, sonore. On ne trouvait pas assez de mots pour la qualifier. Je l'écoutais, mais ses mots me passaient par une oreille et ressortaient par l'autre. Seuls les mots " Il va falloir être sage ! " restèrent dans ma mémoire, puisque, peu après, ses mains glissèrent sous mon pull.

Je compris le sens de ces mots. Sans qu'elle n'en parle de vive voix. Les gestes montrent aussi bien que les yeux. Je sentis ses mains fraîches contre mon bassin d'albâtre. Je les sents. Je ne pouvais les oublier. Si elle me tentait trop, j'allais lui sauter dessus devant tout le monde. Mais, j'avais quand même un peu de retenue. Je savais être sage. Et, c'est avec un immense sourire aux lèvres que je lui dis :

" Tu ne voudrais tout de même pas faire ça ici ? Ne voudrais-tu pas attendre d'être de retour à la maison ? C'est mieux et cent fois plus confortable... "

Je me mis à rire doucement avant de repartir à l'assaut de ses lèvres si sensuelles...

Il était vrai que peu de gens leur adressait la parole, mais Rosie aurait probablement agi de la même façon si elle serait resté humaine. Comme il est vrai que lorsque nous regardons le tout, la couleur de peau, les yeux ou simplement la personne en elle-même peut rendre les humains craintifs. Mais bon, tant qu'on reste poli et qu'on ne fasse pas enrager un vampire, il n'y a aucun risque de se retrouver complètement vidé de son sang. Enfin, cela dépend du quels vous avez en face de vous. Puisque comme tout humain, il a des méchants et des gentils vampires. Rosie, Emmett et les autres membres de la famille font partie des gentils. Bien sûr, nous ne sommes jamais certains de ce que leur côté dominateur peut décider de vouloir faire en ce levant.... euh qu'est-ce que je dis là ?

À ce demander pourquoi Rosie n'arrivait pas à rester toujours aussi délicate auprès d'Emmett. Car avoué qu'à ce moment précis, elle s'en sort plutôt pas mal côté douceur, ne dites pas le contraire sinon elle va sortir les crocs (*sbaff*). Aucun problème à l'horizon et voilà que celle-ci semble s'adoucir un petit instant. Comme si tout ce qui avait autour ne comptait plus, même si tout était réellement présent et qu'elle le savait. Elle aurait bien fait disparaître le monde entier pour se retrouver seule avec son mari, mais cela n'aurait pas été équitable pour les autres amoureux.

Elle remarqua cette façon dont il avait souvent de la regarder et elle savait qu'il n'avait probablement rien suivi de ce qu'elle venait de lui dire. C'était une habitude chez Emmett quand ils ne s'engueulaient pas de se perdre dans le regard et surtout dans ses propres pensée. (vilain Emmett =X) Elle allait justement lui faire la remarque alors qu'il se décida enfin de parler. Le sourire qu'il afficha sur ses lèvres indiqua une phrase bien pigmenter à cause des propos de Rosie qu'elle venait d'avoir. Ah, bon sang, il l'avait un peu écouté et c'était tant mieux. Au moins, elle n'avait pas totalement parlé dans le vide !

Ahahah, tu es un vrai petit clown chéri ! Comme si j'avais envie qu'on voit l'homme de ma vie sans tout ses vêtements..... mais si toi tu veux qu'on me vois ainsi....

Dit-elle et venant doucement remonter son propre chandail alors qu'il vont l'embrasser la coupant un peu dans son geste. Elle relâcha instantanément celui-ci et vint passer ses bras autour du cou d'Emmett.

Tu sais que je t'aime Emmett Cullen !?

Dit-elle alors qu'elle décolla doucement ses lèvres de celle de celui-ci avec un immense sourire.

Et oui, tu as entièrement raison. J'attendrais à ce soir pour te sauter violemment dessus et profiter de ta personne....

Mais là, tu ma empêche de montrer mon corps.... ce n'est pas gentil pour les passant... je dois tout recommencer !

Dit-elle se retenant de ne pas rire en laissant ses mains glisser sur le corps d'Emmett vêtu de son chandail jusqu'à atteindre son ventre. Elle rattrapa son chandail et le tira un peu plus vers elle en riant.

Aller mon chéri, allons marcher avant que ce soit moi qui ne tienne pas la promesse de la sagesse d'aujourd'hui....

Souriante et ne lâchant toujours pas son mari par contre. (ahah celle derrière le pc n'a pas envie d'être sage, mais va se retenir =))

~~581 mots~~

Lorsque Rosalie émit l'idée de se mettre en tenue d'Eve, Je me mis à gronder. Les quelques rares passants qui se promenaient par là tournèrent leur regard vais, je ne m'en sentais nullement gêné. De toute façon à quoi bon se sentir gêné ? Le proverbe " Le ridicule ne tue pas " était aussi valable pour la gêne. De totue façon, je ne pouvais pas mourir. Et Rose non plus. Si elle aurait pu mourir, j'aurais fait le chevalier galant et je me serais interposé entre elle et la Mort.

Elle commença à relever son chandail. Mes yeux se firent aussi ronds que des soucoupes. Je me retins de pousser un grognement furieux. Ca n'aurait servi à rien. Je pris immédiatement ses mains pour l'en empêcher. Non, mais, le corps de Rose était un terrain privé. La chasse était gardée, dessus. Si une autre personne tentait de s'y aventurer, elle devrait faire les frais d'une grande colère. Et cette personne ne sera même plus en état de dire son prénom. Elle ne saura même plus où elle est. Mais, je l'avais embrassé, interrompant son moment de déshabillage.

" Recommence encore une fois, et je te jure que je n'attendrais pas d'être à la maison ! " parvint-il à dire après le baiser.

Ce que Rose me dit après me fit chaud au coeur. Elle m'aimait ! Moi, un pauvre vampire insignifiant était aimé par une des plus belles créatures de ce monde vampirique ! J'étais chanceux. Je crois que je ne regretterais jamais le jour où je suis devenu un vampire. C'était quelque chsoe à jamais gravé dans ma mémoire. Rose était là pour m'y faire penser sans cesse. Et, c'est pour ça que je l'aimais. Parce qu'elle m'aimait, parce qu'elle me comprenait, parce qu'elle était à moi. Parce qu'elle savait rester elle-même.

" Moi, aussi je t'aime. Plus que tu ne le crois... Je t'adore même ! Je t'idolâtre ! Et puis, oui, vaut mieux attendre ce soir. Quand on sera chez nous, loin de Carlisle et Esmée. continues m'aguicher comme ça, je ne serais pas sage et je n'attendrais pas ce soir... "

Je lui fis un petit sourire coquin, qui voulait dire tant de choses ! Et puis, si Rosalie continuait de me provoquer, je serais capable de l'attirer au fin fond de cette petite ruelle et de faire avec elle ce que je voulais faire. Mais, Rosalie était si tentante ! Pou ne pas céder à cette tentation, je la fixais dans les yeux, comme toujours. Ses prunelles dorées qui savaient me déchiffrer. J'aimais tout en elle. Tout. Sans la moindre exception.

Et puis, elle se recolla à moi. Je sentis ses mains glisser sur mon torse pour finir au bas de celui-ci. Elles reprirent leur place initiale, sous mon chandail. Et elle reparla. Ainsi, la petite tigresse n'avait pas envie de jouer dans la sagesse, aujourd'hui ? Elle n'était pas la seule. Et, adviendra ce qu'il adviendra lorsqu'on se retrouvera enfin seul à seule, dans un endroit isolé, coupé du monde.

" Si tu te déshabilles en pleine rue, je le fais aussi, est-ce bien clair ? Et, comme je sais que tu n'as pas envie de me partager avec ces jolies donzelles ( Emmett regarda un groupe de jeunes humaines passer ), je le ferais si tu le fais T'as ma parole ! Et crois-moi, j'en suis bien capable ! Tu me connais suffisament ! "

J'éclatais de rire. J'aimais rendre ma femme jalouse. J'adorais son côté possessif, j'adorais lorsqu'elle me grognait dessus pour dire que je lui appartenais. C'était quelque chose que je ne pouvais pas changer chez elle.

" Tu veux qu'on se promène avant de rentrer à la maison ? C'est un peu la raison de notre présence ici... "

Je n'avais pas cesser de fixer Rosalie droit dans les yeux. Mes mains étaient toujours sur ses hanches. Mes pouces dessinaient sur son pull des petits cercles, destinés à la faire frémir.

Recommencer quoi ? Ahhh, de vouloir me mettre ne tenu d'Éve ?

Dit-elle avec une tête de femme innocente sans vraiment l'être afin de savoir s'il perdrait patience comme souvent. Elle savait que trop bien qu'elle n'avait pas intérêt à se mettre de la sorte devant un autre homme. Et de toute façon cette pensée ne lui avait jamais traverser l'esprit. Elle était bien trop amoureuse de son mari

Ça va j'ai comprit, mais j'aime pas comment tu t'y prends pour me convaincre et tu le sais.

Dit-elle en restant toujours collé contre lui et venant à nouveau frôler ses lèvres contre celles de son petit (=X) mari adoré.

Moi chercher à t'aguicher ? Ohhh, mon chéri ! J'ai vraiment l'air de tenter une quelconque séduction sur toi ?

Murmura-t-elle avec un petit rire et fit un pas vers l'arrière

Que je te vois le faire et je ne promets pas garder le contrôle de moi-même très longtemps....

Répondit-elle en laissant un petit grognement se faire aussi entendre l'ayant bien sur retenu afin qu'il soit moins fort que ce qu'il devait être. Elle fixait le groupe d'humaines quelques secondes en ayant envie de s'arranger pour que celles-ci déguerpissent le plus rapidement possible. Mais les mains d'Emmett fit en sorte de l'aider à garder un peu de contrôle et de reporter son regard sur celui-ci. Par chance, il avait un certain contrôle sur sa femme à sa façon sinon il y a bien des fois ou elle aurait passé sa colère sur de jeunes innocentes. Il faut aussi avouer qu'Emmett la provoque souvent de la sorte et à ce demander comment elle fait pour se retenir aussi bien.

D'accord, va pour la petite marche sous la pluie mon chéri ! Tu as tout à fait raison, nous sommes ici pour cette raison, aussi bien en profiter un peu. L'endroit est tellement calme en plus lorsqu'il pleut de la sorte. J'ai toujours pas comprit pourquoi les gens ont peur de se prendre quelques goûtes d'eau. Pourtant, ils se lavent avec ... non ?

Dit-elle en pensant un peut tout haut en faisant part de ses pensées à son mari tout en marchant à ses côtés avec un petit sourire aux lèvres le regardant parfois. Ce qu'elle était bien, sans problème sans ennemie et sans tout le reste de la famille seule avec son amour.

Il est mignon celui-la non ?

Lâcha-t-elle en étouffant un rire en pointant un homme plus loin assez joli garçon et quand même un peu bâti qui lui envoya un sourire en coin. Bien sur, Rosie ne lui renvoya aucun sourire, mais attendait plutôt la réaction d'Emmett qui avait tendance à être assez possessif lui aussi envers sa petite Rosie. Cette possessivité était étrange, car les deux savaient que l'autre n'irait probablement (=X ouin...) jamais (il faut jamais dire jamais hein chéri =X) voir ailleurs.

~~499 mots~~

Spoiler:

Je la regardais, avec des yeux doux. Bah, on ne pouvait pas dire que j'étais cruel avec elle en ce moment ! C'était faux ! J'étais plutôt doux comme un agneau. Un agneau qui gambadait joyeusement aux côtés de sa mère. Sauf que là, je n'étais à côté d'aucune de mes mères. J'étais à côté de ma femme. La femme qui occupait mon cœur. La femme qui occupait mes pensées le jour et mes rêves la nuit. C'était ma femme. Et je l'aimais.

Elle parla, encore une fois. Apparemment, elle n'aimait pas la façon dont je m'y prenais pour la convaincre d'arrêter de se déshabiller en public. Ses paroles furent suivies d'un petit baiser furtif sur mes lèvres. Un petit baiser comme elle seule savait les faire. C'était du Rosalie tout craché.

Et puis, elle se demanda à haute voix si elle avait une quelconque influence de séduction sur moi. Je lui répondis du tac au tac ( pas le jeu télé, je précise ^^ ).

« Oui, toi, Beauté, tu me séduis. Sinon, comment expliques-tu que je reste à tes côtés ? C'est toi mon énergie vitale. Et tu le sais, ça aussi... »

Je la tenais encore entre mes bras. Et je la regardais avec des yeux doux, des yeux synonymes de tendresse, des yeux d'amour... Je me sentais bien à la fixer dans les yeux. Je savais que je ne détournerais pas le regard. Elle, peut-être. Ça faisait tellement longtemps qu'on ne s'était pas regardé droit dans les yeux, comme deux personnes s'aimant le plus au monde. Et c'était vrai. On s'aimait plus que tout.

Ce que Rosie dit par la suite me fit éclater de rire. Son grognement, encore plus. Mon corps tout entier en tremblait. Et je ne cessais de fixer ma petite femme avec de yeux rieurs. Entre deux fous rires, je réussis malgré tout à caser quelques mots.

« Oh, mais, ne t'inquiètes pas. Je n'irais jamais voir une vulgaire humaine. C'est contre nos pensées. Je n'ai pas envie d'écraser une pauvre humaine si je la serre trop fort dans mes bras. Et puis, je t'aime beaucoup trop pour aller conter fleurette ailleurs... »

La pluie... Parlons en. Rosalie disait vrai. Les gens la fuyaient la journée, pour la retrouver le soir, ou en début de matinée. Mais, je ne les comprenais pas. Je ne comprenais pas pourquoi ils ne prenaient pas le temps d'admirer des goutes de pluie tomber du ciel. C'était si magnifique de voir des petites gouttes de cristal glisser sur de la non-matière. C'était admirable. Mais, ayant toujours Rose dans mes bras, je ne pouvais oublier sa présence, et je ne m'entendis pas dire :

« La pluie n'est rien comparée à toi. Tu es cent fois plus belles que ces simples gouttes d'eau qui descendent du ciel... »

Je regardais Rosalie un instant avant de détourner le visage. Si j'avais pu rougir, j'aurais rougi. J'aurais rougi d'avoir sorti un truc pareil, même si c'était vrai. J'aurais rougi parce que Rose m'aurait sûrement interrogé du regard pour savoir le sens de ces paroles. Je ne supportais pas de subir sans cesse ce regard qui vous ausculte au plus profond de votre personne. Mais, je devais faire avec.

Mais, ma bonne humeur s'envola vite fait. Rose venait de poser les yeux sur un homme. Un homme humain. Je sentis la jalousie monter en moi. Je ne voulais rien laisser paraître. Avec un geste désinvolte, je haussais des épaules et dit d'une voix plate, dans laquelle pouvait percer un second sens que ma vampire pouvait comprendre :

« Ouais, tu peux aller coucher avec si tu veux. J'ai pleins de petites humaines. Après, on se retrouve à la maison ? »

Elle était bien avec son mari, sans devoir rendre de compte à personne. Sans devoir se poser de véritable question sur ce que serait sa journée le jour suivant. C'était bien pour cette raison d'être une vampire, mais le côté humain lui manquait énormément. Elle aurait voulue avoir sa petite maison, son chien, un homme et des enfants. Elle avait pourtant presque tout ce qu'elle voulait, mais le dernier point faisait qu'elle était triste intérieurement. En devenant vampire, son rêve de jeunesse avait prit fin pour laisser place à l'éternité. Sentir un petit être grandir en elle, juste à y penser elle avait envi de hurler sa tristesse. Mais par chance, elle avait le plus merveilleux des mari à ses côtés et elle ne voit plus la vie sans celui-ci. Pourtant, ils passent leur temps à rendre l'autre fou de jalousie, mais ils y prennent un malin plaisir de retrouver les bras de l'autre pour se faire pardonner.

Il avait raison, si n'aurait pas été encore séduit par elle après toutes ses années, leur relation aurait probablement prit fin. Mais ces mot, elle détestait les penser où même les entendent c'étaient pire. Par contre, elle adorait quand il lui rappelait qu'elle était son énergie vital et encore plus quand il lui disait qu'il ne voulait pas aller voir d'autres filles. Elle aimait l'entendre pour la simple et bonne raison qu'elle croyait en ses paroles qui avaient le don de la réconforter à chaque fois.

Ouais et le pire, c'est que je le sais parfaitement... mais j'adore te l'entendre dire ! Je sens à chaque fois que tu es totalement à moi seule et que je suis tienne pour toujours !

Dit-elle en lui souriant heureuse, comme à chaque fois, d'entendre ses mots sortir de la bouche d'Emmett. Puis il parla des goutes d'eau et du fait qu'elle était beaucoup plus jolie et encore la Rosie afficha un splendide sourire. Elle ne posa pas de question du pourquoi il avait dit cette phrase et se colla un bref instant à lui. Elle savait qu'il avait dit ses paroles par amour et qu'il valait mieux ne pas en reparler. Mais elle ne pu s'empêcher de lui dire:

J'aime quand tu me dis des mots comme ceux là !

Mais sa remarque sur les hommes un peu plus loin semblait le laisser indifférent. Elle en haussa même les sourcils tellement il semblait désintéressé et le fixa avec un regard questionneur.

Hey ! Mais c'est quoi cette réplique de 'Je m'en foutisme" ?

S'empressa-t-elle de lui répliquer avec une regard insulté par le fait qu'il semblait prêt à la laisser partir comme si rien été, pour ensuite se retrouver à la maison. Elle lui donna même un coup de coude pour tenter de le ramener à la raison croyant qu'il avait complètement perdu la tête en l'espace de quelques secondes.

Laisse moi vraiment y aller.... et j'vais me poser des salles questions !

Puis elle lui tourna le dos toujours fâchée et se dirigea vers les hommes qui posaient alors leur regard sur elle avec chacun sourire en coin. Allait-il réellement rester indifférent devant se geste ?

~~548 mots~~

Je souris lorsque Rose dit qu'elle aimait les mots qe je lui disais. C'est vrai. Je les pensais sincèrement, et je les disais sincèrement. Du moins, quand c'était elle, c'était vraiment sincère. Parce que c'était elle que j'aimais, et personne d'autre. Je ne pensais pas cinq secondes à aller voir ailleurs. Rosalie me suffisait amplement et c'était à ses côtés que je désirais finir ma vie ( bon, le contexte n'est pas génial mais imaginez quand même ! ).

Je la regardais dans les yeux, lorsqu'elle vint se coller à moi. Elle m'adressa un immense sourire que je rendis. J'étais heureux. J'étais l'homme le plus heureux et le plus chanceux de la Terre entière. Losque je voyais les hommes se détourner lorsque Rosalie et moi passions près d'eux, je souriais, tant intérieurement que mentalement. Et je resserais toujours ma prise sur Rose, que ce soit lorsque mes mains étaient sur sa taille ou sur ses épaules. C'était ma Rose, celle que je faisais fleurir depuis une cinquantaine d'années, celle que je respirais le matin, le midi et le soir. Mais, la Rose avait des épines.

Lorsqu'elle répliqua ma dernière phrase, J'évitais d'afficher un immense sourire. Elle l'aurait mal pris et je ne voulais pas me disputer avec elle, en pleine rue. Je n'aimais pas c concept là. Je préférais réserver les disputes pour la villa. Au moins, peu de personnes en profiteront et toutes les personnes présentes seront là pour nous contrôler en cas de dérapage incontrôlé. Mais, je ne lèverais pas la main sur Rosalie. Je ne l'ai jamais fait, et je ne e ferais jamais.

Je vis Rosalie partir vers les hommes. Je la laissais faire. Je savais réellement qu'elle n'irait pas en voir un autre. Elle sait comment je réagirais. Et ps, de toute faço, j'étais dans mon jour de bonté, de bonne humeur, aussi. Autant qu'elle en profite, je l'aurais à moi tout le reste de la nuit et de l'éternité. Mais, l'étenité n'a pas de fin, donc il ne peut pas y voir de reste. J'esquissas un immense sourire à cette pensée. Puis, ne pouvant retenir la phrase qui me venait, je dis à Rose :

" Prends en un qui me ressemble et j'en prendrais une qui te ressemble. Tu sais très bien qu'on aura toute la nuit, tous les deux. Toute la nut et plus... "

Le sourire que je lui adressais était bourré de sosu-entendus qu'elle seule pouvait comprendre.

Décidément, Emmett allait finir par la rendre folle. Mais pas folle dingue de lui, ça elle l'était déjà. Juste folle de rage pour la laisser ainsi faire sans réagir, sans la moindre émotion. Elle finirait par croire qu'il avait consommé un truc illégale et qu'il n'avait pas voulu partage. Enfin bref, il agissait trop bizarrement en ce moment et Rose commençait à se poser de sacré question. Elle partait vers les hommes qui comme je le disais plus haut, la regardaient venir vers eux avec un sourire charmeur. Puis elle se retourna brusquement alors qu'Emmet venait de lui dire cette phrase.... qu'elle ne comprenait pas trop pour une fois. Que voulez-vous, l'état d'esprit de son homme la déboussolait.

Un qui te ressemble... facile ! Regarde celui en arrière à droite. Il est musclé, a un joli sourire et semble avoir de ses yeux vraiment craquant !

Dit-elle en reprenant son chemin afin de voir jusqu'à quel point il voulait jouer à l'indifférent. Enfin si tout cela n'était réellement qu'un jeu. Espérons le ! Bien sur, elle n'avait pas menti sur l'homme en question et se dirigea droit vers lui. Mais elle n'y arrivait pas, elle ne pouvait pas aller vers un autre pour draguer. Car se serait une façon de tromper son mari et Rosie était incapable d'une telle chose. Elle avait bien beau dire qu'elle le ferait, mais Emmett la connaissait trop. Elle continua finalement son chemin et tourna dans la première petite ruelle qu'elle rencontra.

Elle la traversa à la marche rapide sachant qu'Emmett ne pouvait pas aller à la vitesse d'un vampire pour la rattraper vu qu'il y avait des humains à ses côtés. Mais elle, elle ne vit personne et en moins de deux, elle était dans la petite ruelle derrière Emmet. Elle avait décidé de jouer au jeu de l'inconnu et de le draguer lui. Pourquoi chercher à aller voir ailleurs alors que son coeur, son corps, pensées, etc. était déjà à un seul et unique homme ? Elle n'y arrivait même pas pour le simple plaisir de sentir la jalousie intense chez Emmett, alors imaginer pour le tromper...

Monsieur..... pourriez-vous venir m'aider ?

Marmonna-t-elle pour qu'il soit le seul à l'entendre tout en se penchant en brisant le talon de son soulier afin de faire semblait de l'avoir brisé. Puis elle releva les yeux vers lui avec un sourire charmeur et un regard joueur pour qu'il comprenne ce qu'elle avait en tête.

~~388 mots~~

Spoiler:

Je la regardais aller vers ces hommes. Je m'appuyais nonchalamment sntre un mu et croisais mes bras sur ma poitrine Puis, une seconde plus tard, je reportais mon regard sur les hommes qui entouraient ma femme. J'essayais tant bien que mal d'ignorer leurs sourires qui, por la plupart, étaient salaces. Je n'osais pas imaginer ce qu'ils lui feraient subir si jamais je venais à partir de là. Mais, je ne partirais pas de là. J'étais ien trop possessif pour la laisser entre des mains malsaines.

Elle demanda à un homme de l'aider. Je m mis à pousser un grognement un peu for que je parvins à transformer en une toux lorsque je vis que qelques hommes avaient fixés surmoi leurs yeux pervers. Au moins, Rose apprécierait cette marque de posséssivité. Je savais ue c'était le signal qu'elle attendait pour revenir se jeter dans mes bras.

" Reviens, s'il-te-plaît... Je n'aime pas te savoir près d'hommes comme eux. Ils pourraient... Reviens, chérie. "

Elle seule pouvait entendre ces paroles. Et heureusement ! J'espérais seulement qu'elle ne ferait pas volte-face pour me dévisager. Puis, je me mis à fredonner une chanson. " Pas sans toi " de Matt Pokora.

" Tu es ma number one baby
Je te suis jusqu'au bout
Amant ou bien amis
Tu seras, la seule, je l'avoue "

Juste quelques mots.Quelques mots pour lui dire combien je l'aimais Et combien je l'aimerais touours et ce, quelles que soient les épreuves que je devrais traverser par la suite. En fait, c'était comme une déclaration d'amour. Une déclaation d'amour qu'elle acceuillerait à bras ouverts. Je svais que ces mots là produiraient en elle quelque chose qui fera d'elle une vraie tigresse, lorsqu'on sera seuls, ce soir. Et, je continuais mes murmures qu'elle uniquement entendait.

" Je t'aime. Je suis jaloux et j'aimerais que tu reviennes. "

Elle s'était dirigé vers les hommes et visiblement, Emmett avait décider de ne rient faire pour la retenir. Elle aurait grognée si elle ne se serait pas retenu et aurait sauter sur son amour afin de le ramener à la réalité. Mais la semi sagesse l'avait gagné et avait en sorte qu'elle adresse la parole à l'un des hommes. Pour être plus précise, le grand musclé, sexy et au regard charmeur. Bien que Rosie avait fait exprès de casser le talon de son soulier afin d'avoir une raison d'avoir l'aide de celui-ci, elle n'avait vraiment pas envie de se faire draguer. Enfin, pas par ses pauvres type beaucoup trop faible pour elle et en plus qu'elle est marié....

Elle n'avait jamais supporter d'imaginer les mains d'un autre sur sa peau et même si ce n'était que pour rendre Emmett jaloux. Jamais elle n'en serait capable, que voulez-vous elle est totalement fidèle à son petit vampire d'amour. Puis elle entendit un grognement, c'était son homme qui se décidait enfin à réagir. Visiblement, le fait qu'elle ait demandé de l'aide à quelqu'un d'autre que lui ne lui plaisait vraiment pas. Il faut aussi avouer que Rosie demande que très rarement de l'aide et même au reste de la famille sauf à son amour. (oula c'est moi où je dérive le sujet XD).

Elle ne pu retenir un petit sourire en entendant ce grognement, mais resta où elle était afin de voir la limite de son homme. De toute façon, elle serait se faire pardonner le soir à la maison et lui rappeler qu'elle n'est à personne d'autre qu'à lui. Puis l'homme commença à la draguer et elle du retenir une grimace, mais un autre sourire apparu alors qu'elle entendait Emmett chanter. L'homme devait croire qu'elle souriait à ses paroles, tiens il disait quoi celui-là ? Elle n'avait absolument rien écouter plutôt concentré sur la voix de son amour et enfin elle entendit les mots qu'elle voulait entendre et de tourna vers lui. L'homme lui lança un regard de pervers insulté puisqu'elle l'ignorait. Mais elle commença à marcher vers Emmett et en sentant une main approcher de son épaule, elle accéléra le pas.

Ohhhh je t'aime.... mon amour !

Dit-elle en arrivant près de lui et lui sautant instantanément dans les bras. Étrangement les hommes ne semblaient pas apprécier le fait que visiblement, Rosie venait de ce servir d'eux....Mais Rosalie se contrefichait royalement de ce qu'ils pouvaient penser de sa façon d'agir. Le seul qui l'intéressait c'était son Emmett et rien ni personne d'autre ne pourrait changer cela.

Je suis ta petite Rosie... jsute à toi... et jamais jamais je ne laisserais quelqu'un d'autre te la prendre !

Dit-elle en venant déposer un bref baisser du bout des lèvres sur celle d'Emmett. Puis elle se recula avec un merveilleux sourire en prenant son bras.

Aller marchons... j'Ai pas envie de rester ici.... je me sens envahi par des regards colériques et j'aime pas cela.... et désolée pour t'avoir rendu jaloux... mais j'adore t'entendre.... grogner....

dit-elle en murmurant les derniers mots.

~~555 mots~~

Je vis Rose se détourner des hommes pour me fixer. Elle esquissa un immense sourire qui réchauffa mon coeur. Puis, elle le laissa tombe pour revenir vers moi. A peine fut-elle arrivée près de moi qu'elle se jeta dans mes bras avant de me dire :

" Ohhhh je t'aime.... mon amour ! Je suis ta petite Rosie... jsute à toi... et jamais jamais je ne laisserais quelqu'un d'autre te la prendre ! "

Elle déposa un léger baiser sur mes lèvres. Je posais mes mains sur ses hanches et l'attirais à moi. Je lui rendis son baiser, avec un peu plus de ferveur qu'elle ne l'avait fait. Ensuite, je sentis sur mon bras une légère contraction. Rosalie venait de s'en emparer et me demanda si on pouvait bouger.

" Bien sûr qu'on va bouger, ma petite Rose. On va où tu veux. Et je serais toujours ton petit Emmett adoré. Celui qui t'aime depuis la nuit des temps et qui t'aimeras toujours autant. "

Je ne lui posais pas la question et je la pris dans mes bras. Elle se débattra sûrement pour que je la pose à terre, mais il n'en était pas question. Je n'avais pas envie qu'elle marche car je préférais l'avoir dans me bras, pour être sûr de sa présence. Et puis, si elle m'aimait réellement, elle me laisserait faire.

Je fixais Rosalie droit dans les yeux J'avais un immense sourire d'affiché sur mon visage. Il reflétait l'humeur que j'avais. Jétais heureux. Avec elle dans mes bras. Que pouvais-je demander de plus ? Ce qu'il manquait à nous, pauvres vampires ? J'aurais pu, mais je ne le fis pas. Je savais que ma prière ne serait pas exaucée.

Rosie avait sans la moindre hésitation retrouvé les bras de son mari adoré. D'après tout, il avait agit comme elle avait voulu et comme elle aimait tant le voir faire. Pourquoi elle aimait autant son côté de jalousie ? Et bien, tout simplement car elle sentait encore plus qu'elle était à lui et qu'il ne la laisserait jamais partir facilement. Il était bien le seul qu'elle écoutait réellement et qu'elle ne sautait pas à son cou pour le mordre quand il se prenait la tête. Enfin bref, un beau petit couple de vampire étrange qui adore mettre un peu de piquant dans leur quotidien. Que voulez-vous c'est l'amour féroce entre eux depuis le premier instant.

Une fois dans les bras d'Emmett et de lui avoir déposé un léger baiser sur les lèvres afin de venir le provoquer pour qu'il en veule un peu plus.... Ce qui fonctionnait toujours à merveille d'ailleurs. Il l'avait attirer à lui par la taille en l'embrassant avec plus d'intensité, exactement comme elle aimait. Puis il la prit dans ses bras, donc visiblement il ne voulait pas qu'elle marche et Rosalie eut un petit rire.

--> Tu sais que quand tu fais ça tu me refait toujours penser à notre première nuit de noce ! Et au fait que je t'aime toujours autant, si ce n'est pas encore plus. Malgré que... je ne crois pas que ce soit possible !

Dit-elle en venant déposer un petit baiser dans le creux du cou de son mari. Elle remontait même jusqu'à son lobe d'oreille pour lui mordiller avec un petit rire avant de déposer sa tête sur le creux de l'épaule d'Emmett. Pourquoi elle était si douce soudainement, elle qui normalement n'était pas capable de rester en place plus que deux pauvres petites secondes. Peut-être était-elle en train de s'apercevoir que son couple avait aussi besoin de tendresse après toutes ses années. Où tout simplement car son amour avait atteint le niveau maximal et qu'elle voulait le faire sentir à son homme. Va savoir ce qui se passait dans sa tête en ce moment.

--> Mon chéri, je sais pas si tu le sais.... mais je ne sais pas ce que je ferais sans toi ! Me retrouver un beau matin toute seule, je me le souhaites jamais. Ton sourire, ta voix, ton humeur....

Elle eut un petit rire avant de poursuivre

--> ton corps, bref tout chez toi... Je ne pourrais jamais m'en passer ! Je t'aime Emmett !

Finit-elle en relevant la tête pour voir la réaction de son mari face à tout ce qu'elle venait de lui dire. Elle qui n'avait jamais dit tout cela de vive voit, sachant qu'ils se comprenaient. Maintenant, elle voulait lui dire, car elle voulait doucement découvrir une autre phase de leur relation. Peut-être la douceur ? Oui ce devait être cela, sinon quoi d'autre avec toutes ses paroles ?

--> Que dirais-tu d'aller sur le bord d'une source d'eau et de tout simplement relaxer l'un contre l'autre ?

Finit-elle par dire afin de revenir au sujet principal qui était de savoir quoi faire de cette magnifique journée de pluie. Ce sourire qu'il affichait, elle ne pouvait pas en décrocher son regard. Elle avait la chance d'avoir le plus beau de tous les hommes depuis la nuit des temps et elle en était consciente.

~~581 mots~~

« Tu sais que quand tu fais ça tu me refait toujours penser à notre première nuit de noce ! Et au fait que je t'aime toujours autant, si ce n'est pas encore plus. Malgré que... Je ne crois pas que ce soit possible ! »

Je plongeais intensément mes yeux dans les siens et y déversais tout l'amour que j'éprouvais pour elle. Comme on disait souvent, le regard en dit bien plus long que la pensée. Avec Rose, pas besoin de parler, les yeux le faisaient pour nous. Ça a toujours été comme ça, et, je le pense, ça n'est pas près de changer. C'était toujours ainsi. Quand on aimait, les mots ne suffisaient plus. Il fallait trouver un autre moyen de communication.

Cependant, je n'avais pas perdu l'usage de la parole. Parfois, il fallait mieux entendre les mots de vive voix, ça faisait toujours autant plaisir. Je sais que Rosalie prendrait ces paroles comme quelque chose de super bien, comme quelque chose qu'elle attendait depuis un certain bout de temps, sûrement. Quelque chose qui montrerait combien que je l'aimais toujours autant. Elle avait besoin d'entendre ces mots qui la réchaufferaient peut-être un peu, ces mots qui lui prouveront tout ce que je n'ai pas pu lui dire.

« Tu sais quoi, chérie ? Moi aussi, je t'aime toujours autant. Je ne crois même pas que l'amour que j'ai pour toi n'a faibli depuis notre mariage... »

Rose déposa un baiser dans mon cou. Je ne disais rien, bien que cela me fit plaisir. De toute façon, elle savait bien que j'allais la remercier de tout ça quand on se retrouvera seul à seule. Puis, elle s'attaqua à mon lobe d'oreille qu'elle mordilla. J'esquissais un grand sourire, qui devait faire trois fois le tour de mon visage. Puis, elle posa sa tête contre mon épaule et elle se remit à parler.

Ce qu'elle disait m'emplissait, au fur et à mesure de son énumération, d'une joie sans égale. C'était bien la première fois qu'elle était comme ça avec moi. Qu'elle me dise que je lui manquerais si jamais je venais à ne plus être là, me fit à la fois mal au cœur, mais me donna de la joie, en veux-tu en voilà. Et, lorsqu'elle me dit « Je t'aime, Emmett ! », je resserrais ma prise autour d'elle, comme un enfant qu'on porte dans ses bras et qu'on ne veut pas qu'il s'échappe. C'était pareil. Je resserrais donc ma prise et, je ne sais pas comment j'ai fait, j'écrasais mes lèvres avec fougue et passion sur les siennes. Je me détachais d'elle pour la regarder une nouvelle fois au fond des yeux. Le sourire que j'affichais maintenant ne pouvait pas me trahir.

« Va pour aller sur le bord de la source d'eau. Je ferais tout ce que tu voudras. Mais, crois-moi, quand on rentrera à la maison, on ne va pas jouer tous les deux au Scrabble autour d'un bon verre de sang de grizzli. »

J'éclatais d'un doux rire, avant de continuer ma route vers le point d'eau vers lequel ma femme voulait qu'on aille se relaxer un peu, l'un contre l'autre.

Cette pensée me fit penser à des bêtes qui n'ont pas leur place dans la société actuelle. Des pauvres bêtes à qui ont aurait tout enlevé. Des pauvres bêtes qui, pour continuer de vivre, se serraient l'une contre l'autre et puisaient dans l'amour de l'autre pour tenir encore plus longtemps. C'était fou ce que ça pouvait s'accrocher à la vie rien que grâce à l'amour que vouait l'autre.

Il l'aimait toujours autant et il lui confirmait de vive voix. Chose très rare venant d'eux qui normalement n'ont pas besoin de mots pour ce comprendre mutuellement. Mais aujourd'hui Rosalie en avait décidé autrement, car elle avait décidé d'ouvrir oralement ses pensées et ses sentiments. Depuis leur tout premier mariage, Emmett et Rose avait développé une certaine complicité très intense. Et je parles ici du fait de ne pas avoir à utiliser les mots. mais plutôt un simple regard pour tout savoir. Les années avaient longuement passé et Rosie avait besoin et ressentait un peu ce même besoin chez Emmett. La discussion, revivre toutes ses petites choses du début et surtout continuer de s'aimer autant.

--> Et bien, mon amour ! Tu me vois ravie de te l'entendre me le dire.

Avait-elle répondu avec un grand sourire sur les lèvres. On pouvait dire que malgré toutes les grosses disputes qu'ils pouvaient avoir pour n'importe quoi, l'amour en était sortis grand vainqueur. Si quelqu'un vous dit un jour que le grand amour ne dure que plusieurs années, vous pourrez dire que ces années sont éternels.

Pendant que Rosalie fit sa grande déclaration amoureuse, Emmatt l'écoutait et semblait très content d'entendre tout ce qu'elle lui dit. D'après tout, ses lèvres qui se retrouvèrent fougueusement sur celles de Rosie le démontraient parfaitement. Et devinez quoi !? Rose lui rendit avec autant d'intensité et d'amour qu'elle pouvait avoir envers lui. Ok, peut-être pas autant, sinon il en serait mort. Enfin en temps normale. Puis il disait être d'accord pour aller relaxer avec elle sur le bord de l'eau et un autre sourire illuminait le visage de Rosie.

--> Je sais pas ce que j'ai aujourd'hui mon chéri, mais la seule chose que j'ai envie de te dire c'est que je t'aime !

Elle eut un petit rire et enchaînait :

--> Tu vois, je te disait toujours que tu me rendais dingue de toi. Je crois que ce jour est le jour du grand débordement.

Puis ils arrivèrent à l'endroit désiré après plusieurs minutes de marche de la part d'Emmett qui n'avait toujours pas déposer sa femme au sol. De toute façon, elle aurait probablement râler si tel aurait été le cas. Elle était trop bien dans les bras de son amour, mais savait qu'elle ne pouvait pas y rester tout le temps. Bah quoi, surtout à un certain moment de corps à corps....

--> On va s'asseoir près des roche mon amour !?

Demanda-t-elle en parvenant à poser ses pieds sur le sol tout en restant collé contre Emmett. Tien au fait, depuis quand Rosalie demande quelque chose aussi gentiment ? Si elle continuait de la sorte, il allait finir par croire qu'elle avait consommé quelque chose de pas très net où pire qu'elle voulait se faire pardonner quelque chose. Bien sur, rien de ses options étaient valide.... il n'y avait que l'amour.

--> Zut, moi qui voulait jouer à ce jeu. Mais à chaque fois qu'on aurait perdu.... c'était un morceau de vêtement en moins.

Dit-elle en rigolant et en le poussant doucement jusqu'à ce qu'il soit adosser contre un immense rocher. Puis elle vint se coller le dos contre son mari et portait son regard vers l'horizon tout en prenant leur mains et les posant sur son ventre. Elle était bien à écouter le bruit de la nature alors que l'eau continuait de tomber doucement sur eux. Quelqu'un qui serait passé les auraient surement prit pour des fou à rester la aussi sagement sous la pluie.

~~620 mots~~

Rosalie rendit mon baiser avec une intensité sans égale. Et pourtant, je sentais qu'elle se retenait. Je ne cherchais pas à comprendre, contrairement à d'habitude. Je savais que ses réserves seraient de courte durée. En fait, elle préférerait sûrement garder son énergie pour le soir, quand on sera tous les deux, seul à seule, en tête à tête sur un lit. C'était comme ça qu'elle était. C'était comme ça que je l'aimais, ma Rosie. Et c'est comme ça que je l'aimerais toujours...

Je rompis le baiser sinon, on risquait à tout moment de se prendre un arbre en pleine face. Et la rencontre avec un tronc d'arbre pouvait être brutale. Enfin, pour le tronc que le choc serait brutal. Moi, je risquais de ne rien avoir. Je ne souffrirais même pas. Mais, c'était quand même un peu embêtant de bouger, ne serait-ce que d'un millimètre, à cause d'un arbre qui se trouvait en travers de notre chemin. Les faces à faces avec des rbres, très peu pour moi.

Puis, Rosie parla. Elle disait qu'elle en savait pas ce qu'elle avait, en ce moment, ce jour-ci. La seule chsoe qu'elle désirait faire, c'était me dire tout le temps qu'elle m'aimait. Je souris. Mais, pas d'un sourire de joie. C'était un sourire de compassion qu lui prouvait combien moi aussi, je l'aimais. Je continuais d'avancer, la serrant toujours amoureusement entre mes bras.

Au bout de quelques minutes, on arriva finalement à l'endroit désiré. Rosalie me demanda où on allait se psoer. Elle quitta mes bras avant que lui ai fait part de ma réponse. Je lui passais mes bras autour de sa taille et murmurais à son oreille :

" N'importe où du moment que je suis avec toi... "

Je lui déposais un léger baiser dans le cou, à l'endroit où ça la faisait frémir. Elle se dirigea vers un rocher, en m'entraînant avec elle. Ensuite, tout en me forçant à m'asseoir dos cotre le rocher, elle me parla d'un jeu. Bizarrement, je ne pus m'empêcher de demander :

" De quel jeu parles-tu, chérie ? "

Elle vint poser son dos contre mon torse et je cherchais ses mains pou entrelacer nos doigts. Une fois que cela fut fait, je posais nos mains jointes sur son ventre et fixais, moi aussi, l'horizon qu'elle regardait. J'avais envie de parler, mais, je ne savas pas quoi dire. Soudain, quelques brèves images de notre mariage me revinrent en mémoire. Je sus lors ce que j'allais lui dire.

" Tu sais quoi ? Si tu n'étais pas ma femme, je te demanderais de m'épouser... "

Si j'avais pu rougir, j'aurais rougi. Si mon coeur aurait pu battre, il aurait battu à la chamade en se cognant contre ma cage thoracique. Il aurait battu pour l'être pour laquelle je vivais. Pour l'être que j'aimais.

» Rose... rose.. rose..... c'est un joli nom, vous ne trouvez pas ?
» Rose Link -UC-
» Rose est là, pour mieux se plaindre ....