Heureusement que Papie est toujours là quand il le faut ...

Invité

Carlisle avais entendu le loup hurler a des kilomètres de la
il accouru pour voir ce qui se passait il se trouver derrière Marie voyant le
loup face a lui le fixant d’un regard méchant prêt a le mètre en pièce s’il oser
s’attaquer a sa petite fille.

Carlisle avança doucement vers Marie a pas sur et en faisant
aucun bruits pour ne pas faire peur a Marie le loup continuer de fixer Carlisle
qui savais très bien que celui-ci n’attaquerai pas puis le docteur Cullen
baissa son visage vers Marie et l’appela de son jolie nom.

« Marie … ça va allez ? »

Carlisle avais un sourire éblouissant en voyant sa petite
fille ses yeux n’avais certainement pas brillé de cette façon depuis bien longtemps.

Carlisle détourna son visage vers le loup et lui fit signe
qu’il pouvait repartir que la zone n’encourez aucun danger.

Mon sang se glaça lorsque j'entendis la vois de mon grand père, Carlisle Cullen. Je ne pouvais plus fuir. Je compris alors que l'odeur de loup garou ne venait pas de la meute des Kainai mais de la meute allié au Cullen . Ma course m'avait amener sur les terres de Cullen. Beaucoup trop loin du clan des vampires du Sud. Je me tourna légèrement vers le vampire. Mais je ne disais rien. J'étais muette. je trouvais rien à dire. De toute maniéré je n'avais jamais aimé parler. Je préférais montre.

Je regardais le loup garou qui me montrait toujours ses crocs d'une façon agressive. Puis il s'éloigna ma lançant seule avec Carlisle Cullen. Mon grand père s'approcha de moi. Je restais toujours immobilier réfléchissant à une solution. Une idée ... j'avais pensée à prendre la fuite. Mais je doutais fortement que Carlisle le laisse le choix de partir. Je me redressais alors et fit façon à mon parent. Penser à une personne de cette façon me faisait bizarre. Pour moi avant ma famille s'arrêtait à Bella ma mère et Antho mon frère.

Au fond c'était bien normale, Victoria nous avait tellement répéter que nous étions des enfants non voulu par la famille Cullen. Mais je ne comprenais pas pourquoi au juste. Je restais ainsi perdu dans mes pensées. Oubliant légèrement la présence de mon grand père. Rescillier, je décida donc de rester avec lui. Mais je n'étais toujours pas prête à croiser mon père, jamais je le serais et Anthony .... Anthony lui mon frère ... je ne savais plus. J'avais besoin de réfléchir encore.

Pourtant je savais que je sera obligée de les revoir. De leurs reparler. Mais là étant avec mon grand père, je n'avais pas à me poser la question de si je voulais ou non rester avec eux. J'avais confiance en lui. Peu être était-il même le seul des Cullen en qui j'avais confiance pour le moment. D'ailleurs, il s'était tellement rapprocher que je l'entendit parler. Je n'arrivais pas à parler et je n'aime pas ça ... le seule mots qui sortit de ma bouche fut :

-Désolée ...

Attention aux 15 lignes réglementaire Carlisle

Invité

Carlisle observer Marie qui ne disais mot il s’abaissa a son
niveau au même moment ou elle s’excuser mais de quoi s’excuser t’elle ?
Elle n’avait rien fait de mal … Carlisle regarda longuement sa petite fille et
lui souri il était tellement heureux il avait retrouvé sa petite fille il
mourait d’envie de lui poser tout un tas de question mais il valait mieux d’abord
profiter des retrouvailles avant tout Carlisle allez très certainement ramener
Marie a la maison des Cullen.

Carlisle regardai toujours Marie en lui souriant il n’arrivait
pas a croire qu’elle était la devant lui assez proche pour qu’il la touche.
Carlisle s’inquiéter tout de même pour l’état de Marie elle était venu de ou
comme sa seul en plus une si petite fille se retrouvant seul dans la foret de
quoi traumatiser un enfant humain pour toute sa malheureuse vie.

Carlisle avança encore un peu de Marie et lui demanda de
nouveau : « ça va Marie ? » il occulta Marie du regard
elle semblait être en parfait état physique mais qu’en était t’il de son mental tenait
elle le choc?

Carlisle se demander maintenant qu’il avait retrouvé Marie s’il
retrouvera Bella ainsi que son petit fils la famille sera t’elle de nouveau au
complet ? Ou bien sera-t-elle toujours séparer ? Et pour combien de
temps ? Qu’adviendra-t-il des Cullen ?

Invité

{hj: c'est pas inscrit PV et je me suis permis de me joindre à vous. Vous ne me décapiterez pas j'espère xD !}

Après avoir entendu les hurlements du loup annonçant avoir retrouvée la brebis égarée des Cullen, ma mère et moi arrivions sur les lieux. Pendant qu'Esmée demandait à Carlisle l'état se santé de Marie, je tentais de percevoir ce que ma fille pensait intérieurement, tout en écoutant d'une oreille le diagnostic de mon père.

D'après ce que je percevais, Marie ne semblait pas trop traumatisée mais je sentais que j'étais la dernière personne qu'elle avait envie de voir. Je restai là, inccappable de bouger ni même de partir. Je regardai mes parents, leur demandant presque de venir à mon secours en me disant ce que tout bon parent devrait dire. J'étais encore novice dans ce rôle et je ne tenais pas à dire quelque chose qu'il ne fallait pas, et risquer de perdre ma fille de nouveau, tout comme j'avais perdu sa mère pour la deuxième fois. Toutefois, le rejet que j'avais affronté avec Bella, ne me décougea pas pour autant. Je n'allais pas non plus baisser les bras en si bon chemin. Je me devais de rester là malgré l'entêtement de Marie de me voir.

Je quittai le regard confiant de mes parents et tentai une approche. Si mon coeur battait encore, j'aurais sûrement fait une attaque tellement j'étais nerveu, face à cette situation. Je plongeai mon regard doré encadré par des cernes plus accentuées que d'habitude, dans ses yeux verts étrangement semblables aux miens, pendant mon vivant. Après un long moment de silence, je me décidai finalement à parler.

- Marie, je suis soulagé et même très heureux de voir que tu n'as rien. Je sais que tu n'es pas prête à me revoir. Je vais respecter ça et te laisser tout le temps dont tu as besoin pour réfléchir, mais s'il te plait, Marie, reviens à la maison. Au moins tu seras en sécurité. C'est ça le plus important.

Je regardai ma mère ce qui me donna une idée. Grâce à ses talents pour retaper les maisons anciennes, je me dis soudain qu'elle pourrait aménager la petite maison, non loin de la résidence principale des Cullen, afin que Marie ait un endroit pour réfléchir en toute quiétude, mais surtout en toute sécurité.

- Si tu ne veux pas vivre sous le même toi que moi, eh bien je ferai en sorte de te trouver un endroit rien qu'à toi. Quand tu seras prête à me voir et j'espère me parler, je t'attendrai à bras ouvert car je veux que tu saches que depuis le jour où j'ai su que tu exsistais, tu es devenue ma priorité.

Je ne savais plus quoi ajouter d'autre. Tout ce qu'elle devait savoir avait été dit. Le reste, je ne la sentais pas prête à l'entendre. Je restai là à attendre sa réaction. Je m'imaginais le pire mais que pouvais-je y faire de plus ? Le silence plana un instant avant que l'un d'entre nous se décide enfin à parler.

Comment devrais-je réagir. Carlisle me parlait mais je ne l'écoutais plus. Mon regard se posa sur une ouverture entre deux arbres dans la clairière où nous nous trouvions. J'avais reconnu l'odeur de mon père biologique. J'ignorais la réaction que je devais avoir. Me jeté dans ses bras et m'excuses ou fuir à nouveau. Mais au fond, fuir n'étais pas la solution. J'étais seule au monde. Ma mère avait disparu, Victoria et Lauren voulait ma mort. Maria rêvait de me voir devenir un monstre. Je n'avais pas penser au Volturi et je ne préférais même pas y penser. J'étais trop fragile pour eux. Trop facile à tuer sans doute. Enfin mon père apparu à vitesse vampirique à l'entrée de la clairière. Il semblait d'abord méfiant. Puis il y avait eu un déclinquer. Je ne parlais pas. Seule lui parlait et contais pour mes sens.

Lentement et silencieusement, je me rapprocha de lui. Il était compliquer pour moi de comprendre cette réalité mais c'était la plus logique qu'on m'avait fournit. Je voulais savoir la vraie verité. Et seule mon père pourrait me la donner. Je m'approchais jusqu'à être en face de lui. Puis je me mit à parler. J'avais horreur de ça mais je devais faire un effort.

- Je suis désolée de m'être enfui Papa ... c'était trop nouveau pour moi. La verité peut faire mal parfois ... surtout ce genre de verité là.

J'hésitais sur ce que je devais faire maintenant. Mais comme si mon corps ne me répondait plus, mes bras s'enroulaient autour de la forte taille du vampire et mon visage s'écrasa doucement sur la torce glace de mon vampire de père.

-je suis navrée.

J'étais encore secouer par l'attaque de loup garou. Mais là, je me sentais mieux. Je pense avoir fait le bon choix.

Invité

J'étais là debout au milieu de tous, à quelques pas de ma fille. Le temps, avant que ne se brise le silence, me sembla durer une éternité. En réalité, à peine une minute s'était écoulée. Lorsque Marie ouvrit la bouche pour parler, je levai mes yeux du sol pour la regarder. Elle se leva et s'approcha de moi. Je la regardai faire et je n'avais qu'une envie, la prendre dans mes bras. Toutefois, je décidai de contenir ma joie et de la laisser faire.

- Je suis désolée de m'être enfui Papa ... c'était trop nouveau pour moi. La vérité peut faire mal parfois ... surtout ce genre de vérité là.

Ses petits bras s'enroulèrent autour de ma taille et elle appuya sa tête sur mon torse. J'avais presque l'impression que sa peau tiède, me réchauffait le cœur. Je la serrai doucement contre moi à mon tour, glissant mes doigts dans sa chevelure brune et soyeuse qui me rappela celle de sa mère.

- Je te pardonne mon ange. J'étais inquiet qu'il t'arrive malheur. Je sais que la vérité peut être difficile à entendre. Je l'ai appris, et apprends encore à mes dépends, plus souvent que je ne le souhaiterais.

-Je suis navrée.

J'éloignai ma fille légèrement de moi, afin de pouvoir la regardai dans les yeux et le lui sourit tout en caressant sa joue, couleur de porcelaine.

- C'est terminé ! Rentrons à la maison maintenant. Tu veux bien ? Un bon bain et une bonne nuit de sommeil, te feras le plus grand bien. On aura tout le temps pour parler demain.

Je passai mon bras autour de ses épaules et l'entraina avec moi pour retournai à la maison. Je m'arrêtai tout à coup.

- Une rentrée à la vitesse vampirique à dos de père, ça te dis ?